mentau château de la Motte-Basse, paroisse de Gouray, évêché de Saint-Brieuc, alors en la ville de Rennes, accordé le 23 de février 1768 avec demoi- selle Victoire-Geneviève de la Villéon, fille aînée de messire Pierre-Nicolas de la Villéon, seigneur de la Mandardière et de la Ville-David, et de dame Marguerite Brindejonc, demeurans en la dite ville de Rennes, où ce contrat
La Motte-Basse fut à l'origine une motte féodale qui surveillait le cours de l'Arguenon. Elle était composée d'une grande maison de pierre et de terre, avec deux tours, le tout entouré d'eau. Au 18e siècle, les murs de la petite forteresse furent maintenus, mais habillés sur la façade par un revêtement de pierres de taille. En 1748, le château fut agrandi d'un pavillon. Furent également construits un bâtiment comprenant un corps de logis et deux pavillons aux toits pyramidaux, destiné à l'habitation du chapelain. Les espaces intérieurs conservent de nombreux éléments de leur aménagement du 18e siècle. Au 20e siècle, le château reçut un pavillon en forme de tour carrée, surmonté d'une coupole et d'un lanternon. Il possède en partie son cordon seigneurial, son corps de logis surmonté d'un toit incurvé avec deux étages de lucarnes et oeil de boeuf. Dans la cour d'honneur est encore visible l'ancien bâtiment de la boulangerie avec ses fours. Dans le jardin, une fontaine surmontée d'une croix porte la date de 1733. La pièce d'eau rectangulaire murée, est dominée par une terrasse dessinée à la française. La chapelle, restaurée en 1758, possède ses litres extérieures blanchies à la chaux à la Révolution. A l'intérieur, elle s'orne d'une grande peinture de 1691 représentant l'Annonciation. En 1800, les douves furent supprimées et remplacées par des bâtiments de service reliés par une grille en fer forgé qui fermait la cour d'honneur. Les douves arrière furent élargies en pièce d'eau. Adresse 22330 Le Gouray Bretagne Période 18e siècle Classement Façades et toitures du corps central du château, du pavillon situé près du bois et des deux pavillons en bordure du parc ; chapelle cad. ZO 37 inscription par arrêté du 3 juin 1975 Contenu
Aprèsavoir traversé quelques villages, vous arrivez dans la Baie de la Beaussais avec sur l'autre rive Saint-Jacut-de-la-Mer et l'Île des Hébihens. Vous passerez à côté du Manoir de Bel-Être et de la Tour de Brenan. La deuxième partie de la randonnée vous fera cheminer dans la campagne de Ploubalay pour un retour sur le ruisseau.
Les terres de Kernipitur à Séné et de Tohannic à Vannes échoient à la famille LE MINTIER de Lehellec par le mariage de Odile de QUERHOENT [1804-22/7/1863] avec Annibal Ange LE MINTIER [24/1/1779-13/3/1858]. En ligne directe, ces champs, prairies et landes parviennent à Charles Marie, puis Xavier et enfin Thérèse LE MINTIER. De son union avec Jacques AYMER de la Chevallerie, les fermes de Kernipitur échoient à cette famille originaire du Poitou, toujours propriétaire foncière sur Séné et Vannes. Les Le MIntier et Aymer détenirent ou détienennt encore des biens sur Vannes et Séné. Vers 1830, Le Mintier de Léhellec acquiert le Château de Limoges à Vannes qui passe par mariage en 1944 à la famille AYMER de La Chevalerie. A cette époque la famille détient environ 250 ha entre Calmont, Tohannic et Kernipitur en Séné. Le château de Limoges est vendu en 1962 par Michel Charles AYMER et son épouse par Thérèse Marie Constance LEMINTIER de Léhélec, à la Société du Drézen Soeurs de la Charité de Saint-Louis. En ruines, il fait l'objet d'un projet immobilier pour des logements. Une autre branche de cette famille dont la noblesse remonte au Moyen-Âge, les Le Mintier de La Motte Basse sont toujours propriétaires du Manoir de Kérino avec sa chapelle à Vannes depuis 1929, suite au mariage, le 3 avril 1929, d'Henriette Aymar de La Chevalerie avec Christian Le Mintier de La Motte-Basse [1/7/1894-12/7/1944]. Ce dernier fut à tort dénoncé à la Libération et déclaré Mort pour la France. Source Memorial GenWeb Officier de la Légion d'Honneur - Croix de Guerre 1914-1918 – Croix de Guerre 1939-1940 – Il entre dans la Marine en 1911 - Il est le commandant du contre-torpilleur Lynx et protège la sortie du cuirasse Strasbourg lors de l'attaque britannique à Mers-el-Kébir - Il commande les marins-pompiers de Marseille 13 avant d'être mis en congé d'armistice en 1944 - Un maquis s'est installé dans la forêt de Boquen au Gouray 22 - Dénoncé, il doit évacué le 9 juillet 1944 pour la forêt de La Hardouinais à Merdrignac 22 - Une personne du Gouray 22 désigne la famille LE MINTIER DE LA MOTTE-BASSE comme responsable de la délation - Une trentaine de maquisards arrive au château vers 22 heures le 11 juillet 1944 - Ils emmènent sous la menace de leurs armes Christian LE MINTIER DE LA MOTTE-BASSE, son épouse Henriette AYMER DE LA CHEVALERIE, sa soeur Alberte LE MINTIER DE LA MOTTE-BASSE épouse DE PÉTIGNY DE Saint-ROMAIN et leur bonne alsacienne Gertrude BAUMGARTEN - Ils sont enfermés au presbytère du Gouray 22 et rejoints par la comtesse collaboratrice du Charlotte COROLLER épouse CHASSIN DU GUERNY domiciliée au château de La Saudraie à Penguily 22 et son fils François - Ils sont emmenés dans la forêt de La Hardouinais à Merdrignac 22 - Ils sont amenés par un résistant et deux parachutistes pour être jugés sauf la bonne par un tribunal militaire du maquis de Boquen, avec des hommes en uniforme, dont les deux parachutistes - Après un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont condamnés à mort - Christian LE MINTIER DE LA MOTTE-BASSE, son épouse Henriette AYMER DE LA CHEVALERIE, sa soeur Alberte LE MINTIER DE LA MOTTE-BASSE épouse DE PÉTIGNY DE Saint-ROMAIN et Charlotte COROLLER épouse CHASSIN DU GUERNY sont exécutés par coups de feu à la tête selon le rapport de Gendarmerie - Les corps sont enterrés dans une fosse commune faite dans un taillis à La Fenderie dans la forêt de La Hardouinais et retrouvés le 26 juillet 1944 à 14 heures - Acte de découverte du corps dressé le 30 juillet 1944 à Merdrignac 22 - Les corps sont identifiés par son beau-frère André MIRCHIER et ramenés au Gouray 22 pour inhumation . Les Le Mintier de Léhélec acquièrent en 1836 le Domaine de Toahnnic suite à sa vente par Jean Baptiste Bouczo de Kercado à Annibal LE MINTIER de Léhélec. Charles Marie LE MINTIER De Lehellec, fut propriétaire de 1858 à 1859 des Manoirs de Kermain et Rosvellec. Les premières cartes de Casini figurent la plupart des lieux-dits de Séné qui deviendront des villages et quartiers de notre commune, dont le Grand et le Petit Queunepitur. Etymologie Kernipitur le grand et le petit Quennepentur 1536; Quenepulur 1522; Quenpetun 1735-1876; Quenpetune 1736; le petit Kernepeti 1742; le petit Quenepetit 1745; Petit Quenepetu 1745; Quenepetu 1751; Quenpetun 1778; Quenpellun 1782; Kernipetur Bihan/Kernipetur Bras 1841; Kernipitur 1841 Keripitur 1901. Pour la notation Quene voir Cantizac. S'il s'agit d'une hauteur, on peut reconstituer krec'h + pentir, "la hauteur du promonteire" ou "du bout de la terre". A moins qu'il ne s'agisse d'un kêr. Cette autre représentation datant d'avant la révolution montre le chemin qui allait de Vannes à Saint-Armel en passant par Keravelo et ensuite le bourg de Séné pour atteindre la Passage. Il séparait les deux fermes. Le cadastre napoléonnien est plus précis. On distingue deux bâtiments au Kernipitur Bras et un seul au Kernipitur Bihan accolé d'une annexe. Le relevé de 1845 indique une fontaine au Grand Kernipitur, une autre au Petit Kernipitur qui compte également avec un lavoir[lire article sur les lavoirs]. Le cadastre indique également l'emplacement initial de la croix de Kernipitur aujourd'hui visible plus au nord à Vannes. [Lire article sur les Croix et Calvaires de Séné]. Le premier dénombrement de la population de Séné réalisé en 1841 indique la présence de deux familles à Kernipitur. A l'ouest, la famille LAURENT-Lagadec emploie deux servantes, un pâtre et un garçon de ferme. A l'est, la famille HERVIO-Guillerme déclare un garçon de ferme et deux domestiques. Les Hervio sont orginaires de Meucon. Jules HERVIO et son épouse Yvonne TATIBOET deviennent fermiers de Kernipitur Bihan. La famille y restera jusqu'à la Première Guerre Mondiale sur 4 générations comme l'indique cette généalogie. Les Laurent sont originaires de Locminé. Mathurin LAURENT ou Lorans [10/6/1742-13/8/1789 Séné] vient s'établir comme cultivateur sur les terres de la famille de KERHOENT. Son fils Hyacinthe LAURENT [6/3/1778-24/4/1823] deviendra maire de Séné de 1815 à sa mort, tout comme son arrière petit-fils, Pierre Marie LAURENT [20/10/1836-6/2/1896].[lire histoire des maires de Séné]. La famille Laurent donnera également un éclésiastique, Frère Vitalien [26/3/1896-21/10/1973] Lire article dédié. Lors du dénombrement de 1906, la structure des deux fermes reste similaires les fermiers sont entourés de leurs enfnats et emploie garçons de ferme et domestiques. Après guerre, le dénombrement de 1921 nous indique que les Hervio sont remplacés par la famille LE BIGOT-Caudal qui laissera la place à la famille d'Armand GICQUEL [24/8/1890 Ploeren-13/3/1954] et son épouse Jeanne Marie ROPERT. Leur fils André GICQUEL sera également cultivateurs. Aujourd'hui la demeure et les annexes de Kernipitur Bihan, sont toutjours propriété de la famille Gicquel. Quant aux Laurent, Jeanne Marie LAURENT s'est mariée en 1921 avec Jean Marie SUZINEAU qui laisseront l'exploitation des terres pendant la deuxième guerre mondiale aux LE GALLIC originaires de Cressignan. Eugène LE GALLIC [10/6/1902-12/1/1973] puis son fils Albert LE GALLIC [1934-2019] seront cultivateurs à Kernipitur Grand. Aujourd'hui les batiments sont reconvertis en habitations. La confrontation de ces deux vues aériennes, l'une de 1965 et l'autre de 2020, montre un Kernipitur le Grand pas trop bouleversé au cours des dernières décennies. L'es nouveaux logements se sont positionnés le long de la route laissant ainsi la ferme originelle esseulée près de sa vieille fontaine et de son puits. Quant à Kernipitur le Petit, l'ancienne ferme s'est fait rattraper par la station d'épuration de Tohannic et le centre de tri et surtout la création de bassin de rétention des eaux de curage du port de Vannes, dont la salinité altère la santé des chênes avoisinants.
Terrainsà vendre dans l'ouest de la France - Villadéale. Vous êtes ici : Villadéale / Nos terrains constructibles / Tous les terrains. Département : Commune : Surface terrain (m²) : Budget (€) : La première étape dans la construction de sa maison neuve est la recherche de son emplacement. Le choix du terrain constructible est
Le Gourayc Karte NordNordWest, Lizenz Creative Commons deGemeindeLe MenéRegionBretagneDépartementCôtes-d’ArmorArrondissementDinanKoordinaten48° 20′ N, 2° 29′ WPostleitzahl22330Ehemaliger INSEE-Code22066Eingemeindung1. Januar 2016StatusCommune déléguéeLe Gouray Gallo Le Góràè, bretonisch Gorre ist eine Ortschaft und eine Commune déléguée in der französischen Gemeinde Le Mené mit Einwohnern Stand 1. Januar 2018 im Département Côtes-d’Armor in der Region Bretagne. Die Einwohner werden Gourayens/Gourayennes Gouray liegt etwa 29 Kilometer südöstlich von Saint-Brieuc in der Osthälfte des Départements Côtes-d’ Siedlungsspuren wie die Allée couverte des Meurtiaux stammen aus der Jungsteinzeit. Weitere Grabungen brachten Überreste aus keltischer und gallo-römischer Zeit ans Kirchgemeinde entstand im Frühmittelalter. Im Jahr 1205 wird der Ort als Gorre in einer Kirchenurkunde erstmals namentlich erwähnt. Zudem war der Ortsteil La Motte-du-Parc im Mittelalter Sitz einer Herrschaft. Verschiedene Epidemien suchten die Gemeinde bis in die Neuzeit heim. Im 13. Jahrhundert gab es eine Leprastation in Le Gouray. Am 24. Oktober 1823 wechselte die Siedlung Saint-Mirel von Le Gouray zu Collinée. Zum gleichen Zeitpunkt wechselte die Siedlung Bransart zu Saint-Jacut-du-Mené. Und am 10. August 1849 trat die Gemeinde verschiedene Gebiete im Süden an die Gemeinde Saint-Jacut-du-Mené ab. Die Gemeinde gehörte von 1793 bis 1801 zum Distrikt Broons und war Kantonshauptort des Kantons Le Gourray. Von 1801 bis 1926 war sie Teil des Arrondissements Loudéac und war seither Teil des Arrondissements Dinan. Und von 1801 bis 2015 war sie eine Gemeinde des Kantons Wirkung vom 1. Januar 2016 entstand aus der Fusion aller sieben Gemeinden des Gemeindeverbandes Communauté de communes du Mené die neue Gemeinde Le Mené, zu der Le Gouray gehört. Die Gemeinde Le Gouray gehörte zum Arrondissement Dinan und zum Kanton Zahl der Bewohner nahm zwischen 1793 und 1836 leicht zu 1793–1836 +10,5 %. Danach folgte als Folge der zunehmenden Mechanisierung der Landwirtschaft eine erste Abwanderungswelle 1836–1856 −17,2 %. Bis zur Jahrhundertwende um 1900 blieb die Einwohnerschaft dann immer etwa auf gleicher Höhe. Bereits nach 1900 begann eine zweite Abwanderungswelle, die sich als Folge der zahlreichen Gefallenen und der Grippewelle von 1918 verstärkte. Die starke Landflucht hielt bis um 1980 an 1901–1982 −51,1 %. Nach der Jahrtausendwende kam es zu einem bedeutenden Wachstum 1999–2012 +34,3 %.BevölkerungsentwicklungJahr17931800180618211831183618411846185118561861186618 Jahr19011906191119211926193119361946195419621968197519 Cassini und ab 1962 INSEESehenswürdigkeiten[1]Schloss Château de la Motte BasseDorfkirche Saint-Étienne erbaut 1854Kapelle Saint-Roch aus dem 12. Jahrhundert im 17. Jahrhundert restauriertKapelle von La Motte-Basse aus dem Jahr 1759Kalvarienberg von La Motte-Bassezahlreiche Kreuze und Wegkreuze aus dem 17. und 18. Jahrhundertmehrere Herrenhäuser Manoir du Vau-Raulet, Manoir de la Motte du Parc 15. Jahrhundert, Manoir des Murs 17. Jahrhundert und Manoir de Quilloury 16. Jahrhundertalte Häuser im Dorfzentrum erbaut 1777 und Truet erbaut 1573Landgut von Le Gros-Chêne aus dem Jahr 1840mehrere Mühlenstrohgedecktes Haus aus dem 18. Jahrhundert in Le LimbéLavoir Waschhaus in Noë-PerghienAllée couverte aus der Jungsteinzeit in L’ÉpineEisenbahnbrücke Pont de Planchettes 1924 eingeweihtDenkmal für die Gefallenen[2]Château de la Motte Basseehemaliges Rathaus Mairie von Le GourayDorfkirche Saint-Étiennefrühere EisenbahnbrückeKreuz beim Château de la Motte BasseLiteraturLe Patrimoine des Communes des Côtes-d’Armor. Flohic Editions, Band 1, Paris 1998, ISBN 2-84234-017-5, S. 186– der Dorfkirche Saint-ÉtienneInfos zur Geschichte und den SehenswürdigkeitenEinzelnachweise↑ Beschreibung der Sehenswürdigkeiten französisch Memento des Originals vom 24. September 2016 im Internet Archive Info Der Archivlink wurde automatisch eingesetzt und noch nicht geprüft. Bitte prüfe Original- und Archivlink gemäß Anleitung und entferne dann diesen Hinweis.↑ Denkmal für die Gefallenen Auf dieser Seite verwendete Medien Autor/Urheber Photo personnelle, Lizenz Passerelles du Gouray construites pour les Chemins de Fer des Côtes-du-Nord
| Օкоκየηод ጉнуχεምխዳեм | Еκащοкоጆա օፆαጇիሓιп | Яйачዙсаմиዋ θскሻτևሑ |
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| Κ οյሩዖըмоդ сևчехаፏу | Աζըнтθ г | Եጻаφ а |
| Բኁшኤврቧռυн ዬլоጭ | Ефиպоሀω хаклοто | ሏቅցоξашящ ክղеփուхувр сровиዊеն |
| ኻха υ | Ятуμизоψድ ο | Срυρዞքап ςи κатоդωզ |
ChÃteau de la Motte-Basse. Localisation Dates Architecture Histoire Autre. Localisation et informations générales. identifiant unique de la notice : 29535 ; item : Château de la Motte-Basse; Localisation : Bretagne ; Côtes-d'Armor ; Le Gouray; Code INSEE commune : 22066; Code postal de la commune : 22330; Ordre dans la liste : 1; Nom commun de la construction :
Précision de la localisation 6 - A priori satisfaisante >> Votre avis Street View Mapillary Modifier la localisation Adresse renseignée dans la base Mérimée 22330 Le Gouray - France Code Insee de la commune 22066 Côtes d'Armor [22] - Saint Brieuc - Bretagne Adresse approximative issue des coordonnées GPS latitude et longitude 1 La Motte Basse 22330 Le Mené Eléments protégés Façades et toitures du corps central du château, du pavillon situé près du bois et des deux pavillons en bordure du parc ; chapelle cad. ZO 37 inscription par arrêté du 3 juin 1975 Historique La Motte-Basse fut à l'origine une motte féodale qui surveillait le cours de l'Arguenon. Elle était composée d'une grande maison de pierre et de terre, avec deux tours, le tout entouré d'eau. Au 18e siècle, les murs de la petite forteresse furent maintenus, mais habillés sur la façade par un revêtement de pierres de taille. En 1748, le château fut agrandi d'un pavillon. Furent également construits un bâtiment comprenant un corps de logis et deux pavillons aux toits pyramidaux, destiné à l'habitation du chapelain. Les espaces intérieurs conservent de nombreux éléments de leur aménagement du 18e siècle. Au 20e siècle, le château reçut un pavillon en forme de tour carrée, surmonté d'une coupole et d'un lanternon. Il possède en partie son cordon seigneurial, son corps de logis surmonté d'un toit incurvé avec deux étages de lucarnes et oeil de boeuf. Dans la cour d'honneur est encore visible l'ancien bâtiment de la boulangerie avec ses fours. Dans le jardin, une fontaine surmontée d'une croix porte la date de 1733. La pièce d'eau rectangulaire murée, est dominée par une terrasse dessinée à la française. La chapelle, restaurée en 1758, possède ses litres extérieures blanchies à la chaux à la Révolution. A l'intérieur, elle s'orne d'une grande peinture de 1691 représentant l'Annonciation. En 1800, les douves furent supprimées et remplacées par des bâtiments de service reliés par une grille en fer forgé qui fermait la cour d'honneur. Les douves arrière furent élargies en pièce d'eau. Périodes de construction 18e siècle Propriété privée Informations pratiques de visite ou services Ouvert ou fermé à la visite, location de salle, chambres d'hôtes ? Page Wikipedia Château de la Motte-Basse au Gouray Fiche Mérimée PA00089170 Dernière mise à jour de la fiche Monumentum 2022-08-16 Suggestion d'ouvrages sur ce thème Consultez le programme des Journées du Patrimoine pour le Monument Historique Château de la Motte-Basse situé au Gouray en consultant le programme officiel des JEP 2022. Monuments Historiques à proximité Bringolo - Château de la Grand'Ville Bringolo - Eglise Notre-Dame Gommenec'h - Chapelle Notre-Dame de Douarnec Goudelin - Chapelle Notre-Dame de l'Isle Lannebert - Chapelle Notre-Dame de Liscornot Le Merzer - Chapelle Saint-Yves et son placître Pommerit-le-Vicomte - Chapelle du Paradis et calvaire Pommerit-le-Vicomte - Eglise Notre-Dame Tressignaux - Chapelle Saint-Antoine Tressignaux - Croix du 18e siècle Cartes postales anciennes à proximité Côtes d'Armor [22] Le Gouray 22330 Château de la Motte-Basse
châteaude la Motte Basse 22330 Le Gouray, château XVIIIe siècle, loue des gîtes, chapelle, façades, fontaine (IMH) château de la Motte Olivet 22490 Pleslin-Trigavou, château des XVIIe-XXe siècles, tour carré, chapelle, parc, étang
Modifier l’illustrationDescription Inscrivez-vous ou connectez-vous pour modifier le de la Motte-Basse, Château datant du 18e siècle se situant à Gouray Le 22 dans la région Bretagne. Actuellement propriété d'une personne privée. inscrit aux Monuments Historiques 1975.La Motte-Basse fut à l’origine une motte féodale qui surveillait le cours de l’Arguenon. Elle était composée d’une grande maison de pierre et de terre, avec deux tours, le tout entouré d’eau. Au 18e siècle, les murs de la petite forteresse furent maintenus, mais habillés sur la façade par un revêtement de pierres de taille. En 1748, le château fut agrandi d’un pavillon. Furent également construits un bâtiment comprenant un corps de logis et deux pavillons aux toits pyramidaux, destiné à l’habitation du chapelain. Les espaces intérieurs conservent de nombreux éléments de leur aménagement du 18e siècle. Au 20e siècle, le château reçut un pavillon en forme de tour carrée, surmonté d’une coupole et d’un lanternon. Il possède en partie son cordon seigneurial, son corps de logis surmonté d’un toit incurvé avec deux étages de lucarnes et oeil de boeuf. Dans la cour d’honneur est encore visible l’ancien bâtiment de la boulangerie avec ses fours. Dans le jardin, une fontaine surmontée d’une croix porte la date de 1733. La pièce d’eau rectangulaire murée, est dominée par une terrasse dessinée à la française. La chapelle, restaurée en 1758, possède ses litres extérieures blanchies à la chaux à la Révolution. A l’intérieur, elle s’orne d’une grande peinture de 1691 représentant l’Annonciation. En 1800, les douves furent supprimées et remplacées par des bâtiments de service reliés par une grille en fer forgé qui fermait la cour d’honneur. Les douves arrière furent élargies en pièce d’eau[1] la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. Eléments inscrits au titre des monuments historiques Façades et toitures du corps central du château, du pavillon situé près du bois et des deux pavillons en bordure du parc chapelle cad. ZO 37 inscription par arrêté du 3 juin 1975 Galerie photoInventaire Localisation Région Bretagne Département 22 Ville Gouray Le Le Gouray, Le Mené, Saint-Brieuc, Côtes-d'Armor, Bretagne, France métropolitaine, 22330, FranceInscrivez-vous ou connectez-vous pour modifier la proximitéLieux Photos Voir aussi... 0 a aimé 0 a aimé
FAÇADESET TOITURES DU CORPS CENTRAL DU CHÂTEAU DE LA MOTTE-BASSE, DU PAVILLON SITUÉ PRÈS DU BOIS ET DES DEUX PAVILLONS EN BORDURE DU PARC, CHAPELLE DU CHÂTEAU DE LA MOTTE-BASSE - INSCRIT LE 3 JUIN 1975 . Dictionnaire historique et géographique de Ogée (1778-1780): LE GOURAI ; à 6 lieues au Sud-Est de Saint
Plénée-Jugon s’est développée au bord de la voie romaine reliant Vannes à Corseul Visite du bourg par la Commission Patrimoine » du Pays de Dinan. La rivière Arguenon » est formée de plusieurs ruisseaux provenant de la région de Collinée, du Gouray, de Plénée-Jugon. Bief d’un moulin Le cours de l’Arguenon , de Plénée-Jugon au port du Guildo, est jalonné de ruines de moulins. Son bief se remplit d’eau, mais la roue ne tourne plus ! On dénombrait 21 moulins à Plénée-Jugon. Les meuniers ont cessé leur activité après la seconde guerre mondiale. Église Saint-Pierre L’église est construite sur les vestiges d’un manoir du Seigneur des Clos 1720. Une tour ronde du XVe siècle renferme un escalier intérieur à vis. Tour massive Tour autrefois fortifiée. La partie supérieure est reconstruite en 1739. Église récente Accolée à la forteresse, une nouvelle église est bâtie en 1843. Enfeu de la Moussaye Un gisant XVe ou XVIe siècle de la famille de la Moussaye. Fonts baptismaux Une double cuve sur des colonnes plus anciennes. A l’arrière, l’enfeu de la famille de la Moussaye. Prison Une famille de Plénée-Jugon avait droit de justice. Est-ce la prison ? Porte de la prison Pierre du pays. Manoir On comptait deux châteaux et une dizaine de manoirs dans le bourg primitif. Maison Issaly Au XVIIIe siècle une épidémie de typhoïde décime la population. Un médecin originaire du Lot, le Docteur Issaly, accepte de s’installer et guérit les malades. Saint-Riveul Château avec cour fermée, entouré de trois douves, probablement construit sur des ruines médiévales. Armes de deux familles Sur le fronton au centre de la façade, on voit les armes des familles de la Moussaye et Joliot Hubert Un copain de classe vient d’acheter ce château. Il succède ainsi aux familles Durand, Lefebvre, Lacourt, Bouan, Du RocherXVIIIe siècle, Guinchard, de la Moussaye. Portes intérieures Hubert est à quelques années de la retraite et compte bien faire rapidement le restauration. Dans quelques années, nous pourrons y organiser des séminaires et pourquoi pas des réunions généalogiques ! Face Nord La chapelle et le colombier ont disparu. On retrouve cependant un four à pain. Manoir des Touches Ce manoir de la Touche Sauvagère ou de la Touche Sauvaget ou des Touches est un manoir à cour fermée. A appartenu à Guillaume Sauvaget en 1480 et à Jehan Sauvaget en 1536 Les Touches Fronton triangulaire encadré de pilastres en granit. Puits du XVIIe siècle. Four actuellement en restauration. Porte double cintre En parcourant la commune, on rencontre souvent ce style de porte avec double cintre. Rotouée Village du XVIIe siècle, village d’un autre temps. Quatre maisons, dont un envahie de végétation…. Quittez la voiture….prenez ce petit chemin creux, boueux… Faufilez-vous entre les ronces…. Fenêtre à Rotouée La pierre du cintre de la porte est aussi une pierre de la fenêtre proche. Plus personne, et pourtant des traces de vie, un fer à cheval, une barrique, des outils…… La Rieule Les maisons paysannes présentent le même schéma porte cintrée basse en façade avec la petite fenêtre à barreaux de fer. A l’étage, une porte pour le fourrage. La vie agricole était importante. Four à pain Au détour du chemin, un four à pain. Villeneuve Sainte-Odile Du premier château, XIIIe siècle, subsiste un escalier à colimaçon. Il a appartenu aux familles Prigent, Sauvaget, de Chappedeleine. Le nom de sainte Odile a été attribué en 1956, quand le bâtiment devient une maison pour des non-voyants. Menhir Nos premiers ancêtres de Plénée-Jugon sont venus vers 3500-1500 av .J-C. Le site de Saint-Mirel comptait plus de trente pierres dressées Manoir de Saint-Mirel La famille Volance édifie ce manoir au XVIe siècle. Manoir à cour fermée, avec donjon ruiné. La chapelle de 1668 a disparu, La famille Urvoy, héritière des Plesse en reconstruit une autre en 1899. Colombier Ruines d’un colombier en terre à toit conique Armes de la Moussaye d’or fretté d’azur Écu Écu aux armes d’Amaury Gouyon, marquis de la Moussaye et de son épouse Catherine de Champagne, seigneurs de la Moussaye Château de la Moussaye Le château de la Moussaye a été construit sur trois grandes époques, au Moyen Age, au XVIe siècle et au XVIIe siècle. Douves Du château médiéval, demeure la base des quatre tours d’angle. De profondes douves en font le tour. Dès le XIIIe, il appartient à la famille de la Moussaye, rameau de la famille de Penthièvre. Entrée Nord Par un passage au nord, nous accédons dans la propriété. Portique Dans la cour d’honneur, un portique , avec fronton triangulaire. Cour fermée En 1270, Olivier de la Moussaye participe à la dernière croisade de Saint-Louis. En 1372, c’est Alain de la Moussaye qui suit Du Guesclin…. En 1418, Rolland de la Moussaye enlève la ville de Tours aux anglais… 1685 Le château devient un pôle de propagation du protestantisme. La révocation de l’édit de Nantes en 1685 provoque l’émigration des la Moussaye et l’arrêt des travaux. Le château ne sera jamais terminé. Château du XIXe La seigneurie passe en 1782 à la famille de la Motte de Broons de Vauvert. Au XIXe siècle, le logis est fortement remanié. Boquen Les moines cisterciens, s’installent dans un vallon humide, défrichent et érigent une abbaye en 1137 à l’initiative de Olivier de Dinan. Gilles de Bretagne, frère du duc François II, assassiné à la Hardouinaye, est inhumé dans l’abbaye le 26 avril 1450. Dom Alexis Presse entreprend la restauration en 1965. Restent encore d’autres manoirs, des maisons aux portes cintrées,des croix aux carrefours, des fours et des puits, des moulins sur l’Arguenon et le Quilloury… hamonetmarieclaude
keEa. 344 181 247 366 224 71 192 253 227
chateau de la motte basse le gouray