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Michel-Édouard Leclerc s'en prend à l'exécutif sur la hausse du carburant Le patron du géant de l'agroalimentaire a annoncé la poursuite d'une opération prix coûtant jusqu'à la fin du mois de novembre. CARBURANTS - Michel-Édouard Leclerc ne mâche pas ses mots. Invité de France Info, ce lundi 5 novembre, le patron du groupe agroalimentaire est largement revenu sur la grogne provoquée par la hausse des prix du carburant, liée à l'augmentation du prix du baril de pétrole et des taxes. "Tous nos salariés, nos directeurs nous le disent il y a un ras-le-bol", a concédé Michel-Édouard Leclerc. "Ça fait déjà une quinzaine de jours que tous les centres Leclerc s'étaient mis à prix coûtant. Et je vous annonce ... on a tous décidé de maintenir cette opération prix coûtant sur tous les carburants jusqu'à la fin novembre". Michel-Édouard Leclerc invite l'exécutif à "choisir son camp" Surfant sur la vague de contestation, le président de ajoute "C'est important de donner un signal aux pouvoirs publics il faut savoir choisir son camp. Celui qui tire la croissance, c'est le consommateur. Donc aujourd'hui, cette grogne est légitime, on l'entend et il faut y répondre". L'argument écologique utilisé par l'exécutif pour justifier cette mesure ne passe pas non plus. "On est écolo à la mesure de nos moyens et de notre pouvoir d'achat", s'est emporté Michel-Édouard Leclerc. "Faut quand même pas prendre les gens pour des zèbres on est tous d'accord pour le combat pour le climat, pour manger mieux, etc... Mais ça ne peut être que par le prix". Emmanuel Macron "assume" la hausse des taxes Cette charge intervient alors qu'Emmanuel Macron a indiqué qu'il "assume parfaitement" cette hausse de la taxation sur le diesel, dans un entretien aux journaux du groupe Ebra, paru ce lundi 5 novembre. "Les mêmes qui râlent sur la hausse du carburant, réclament aussi qu'on lutte contre la pollution de l'air parce que leurs enfants souffrent de maladies", a fustigé le président de la République, ajoutant que "la hausse du prix à la pompe qu'on constate aujourd'hui est liée à 70 % à celle des cours du pétrole". Et d'ajouter "On nous a expliqué pendant des décennies qu'il fallait acheter du diesel et maintenant c'est le contraire. C'est normal que ce soit mal compris". Si l'on en croit le dernier sondage Odoxa-Dentsu Consulting réalisé pour France Info, la colère des automobilistes s'accroît. 78% des sondés estiment en effet que l'appel à bloquer les routes le 17 novembre prochain est "justifié". À voir également sur Le HuffPost LIRE AUSSI Hausse des prix des carburants Les "gilets jaunes" seront-ils les bonnets rouges de Macron? Les images des premiers dépôts de carburants bloqués par les agriculteurs
Leclercva baisser les prix à la pompe dès lundi. Par Hayat Gazzane. Publié le 24/06/2011 à 19:15, Mis à jour le 24/06/2011 à 21:21. Les prix du baril de pétrole ont perdu entre 5l'essentiel Les prix du carburant vont repartir à la baisse le lundi 14 mars. À partir du 1er avril, une réduction de 15 centimes par litre sera appliquée partout et pour tous. Allons-nous enfin payer le plein d'essence à un tarif à peu près raisonnable ? Un vent de panique a soufflé chez les automobilistes cette semaine en France. Les tarifs du litre d'essence ont largement dépassé les 2 €, quelle que soit la station - même en hypermarché - quelle que soit la ville ou le type de carburant. Un litre de gazole à 2,30 € voire 2,40 €, c'était du jamais vu. Le cours du pétrole Brent est monté jusqu'à 128,87 € le mardi 8 mars pour redescendre à 112,29 € vendredi. Le pétrole raffiné - l'indice Platts à Rotterdam - a flambé de la même manière que le brut. Les prix se sont envolés par crainte d'un embargo sur le pétrole russe. Or en France, un quart du gasoil que nous importons vient de Russie. Les prix à la pompe ont subi un premier recul dans la journée du vendredi 11 mars. Lundi 14 mars jusqu'à 35 centimes de baisse Les prix du gasoil à la pompe vont baisser de 35 centimes le litre à partir du lundi 14 mars. Pour le sans-plomb 95 et 98, la baisse sera de 8 à 10 centimes. C'est Michel-Edouard Leclerc, le PDG des hypermarchés Leclerc, qui l'a annoncé. Ce volume ne concerne pas uniquement son enseigne mais l'ensemble des distributeurs de carburant, selon Michel-Edouard Leclerc. Cette baisse de 35 centimes pour le gasoil et de 8 à 10 centimes pour le sans-plomb 95 et 98 va faire repasser une majorité de stations-service sous le seuil de 2 € le litre. Reste à savoir si les prix resteront stables par la suite. A lire aussi Carburant Etat, producteurs, distributeurs... à qui profite la flambée des prix ? Vendredi 1er avril 15 centimes de moins par litre C'est l'annonce choc du week-end et la réponse du gouvernement à la flambée des prix du carburant. À partir du 1er avril, nous paierons le litre 15 centimes de moins que le prix affiché à la pompe. Elle sera valable pour tous les carburants, partout en France, pour les particuliers et les entreprises. Jean Castex promet une remise de 9 euros pour un plein de 60 litres. Cette "remise carburant" restera en vigueur pendant quatre mois. Les distributeurs se feront rembourser par l'Etat. La remise carburant concerna les automobilistes, les artisans, le BTP, les taxis, les routiers et les pêcheurs. Pour autant, pas question de baisser les taxes sur le carburant. Le Premier ministre, qui s’est exprimé dans le Parisien, promet que la "remise carburant" permettra aux Français de récupérer les taxes supplémentaires perçues par l'Etat. "Tout est rendu aux Français", assure Jean Castex, "je ne peux pas laisser dire que l'Etat s'en met plein les poches". Il explique que la "remise carburant" va coûter 2 milliards d'euros aux finances publiques. Si les prix du carburant se maintenaient au niveau actuel, au premier semestre 2022, les recettes fiscales de l'Etat augmenteraient de moins de 2 milliards. L'État demande aussi aux pétroliers et aux distributeurs de réduire un peu leurs marges. "Si l’État fait un effort de 15 centimes au litre, et que les pétroliers et les distributeurs font par exemple un effort de 5 centimes, c’est bien 20 centimes qui doivent se retrouver dans la poche des Français", assure Jean Castex. A lire aussi Remise de 15 centimes sur le carburant pour qui ? jusqu'à quand ? comment ça fonctionne ?... on vous explique tout Une évolution des prix très incertaine Les prix actuels du pétrole, "c'est un marché fou", a admis Michel-Edouard Leclerc sur BFMTV vendredi. Si les prix à la pompe se sont envolés la semaine dernière, c'est en raison d'un possible embargo européen sur les énergies venues de Russie. Cette menace ne semble pas d'actualité ce week-end et les Russes n'ont pas évoqué la possibilité d'arrêter leurs exportations de pétrole vers l'Europe. Au-delà de l'embargo, il n'y a aucun risque de pénurie de pétrole. Il y a suffisamment de pétrole pour la consommation mondiale. Les pays producteurs de pétrole de l'Opep + dont la Russie ont décidé en août 2021 d'augmenter leur production de 400 000 barils par jour de plus chaque mois. Un objectif qui n'a pas évolué avec l'invasion russe en Ukraine. La prochaine réunion de l'Opep + est prévue le 31 mars. Dans tous les cas, l'évolution de la guerre en Ukraine ces prochaines semaines aura forcément une conséquence sur les prix à la pompe.
Lesprix à la pompe et les cours du pétrole sont décalés de deux à trois mois. Olivier Appert, conseiller énergies à l’Institut français des relations internationales, explique pourquoiJeudi soir, après la décision des 28 pays membres de l'Agence internationale de l'énergie, le ministre de l'Energie Eric Besson avait instamment demandé à Total -cité nommément- et aux autres distributeurs de répercuter à la pompe une éventuelle baisse des cours. "Nous pensons, nous espérons que cette mesure de l'AIE, ndlr aura un impact positif sur les prix, et nous ne manquerons pas de la répercuter sur le prix à la pompe, bien sûr", lui a répondu vendredi une porte-parole de Total. Michel-Edouard Leclerc, patron des centres du même nom qui assure distribuer notamment 12% du gazole en France, s'est fait de son côté plus affirmatif encore "On va rendre la baisse immédiatement applicable dès lundi" avec une réduction "de 1 à 3 centimes par litre, ndlr selon la rotation des stocks", a-t-il promis. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement M. Besson s'est félicité vendredi soir que sa demande ait été suivie d'effet. "D'ores et déjà , les groupes Total, Esso, Shell, ENI, Auchan, Leclerc et Les Mousquetaires se sont engagés en ce sens", a-t-il indiqué. Lors de la semaine achevée le 17 juin, le litre de gazole -le carburant de loin le plus consommé en France- s'échangeait en moyenne à 1,3335 euro 1,5030 euro par litre pour le sans plomb 95, 1,5435 euro pour le 98. Aux yeux de Jean-Louis Schilansky, président de l'Union française des industries pétrolières Ufip, patronat, cette baisse des prix à la pompe sera de toute façon "mécanique", et devrait se ressentir dans le courant de la semaine prochaine. Immédiatement après l'annonce de l'AIE, les cours du brut ont perdu 7 à 8 dollars par baril et étaient vendredi environ 5 à 6 dollars en-dessous de leurs niveaux de mercredi. Ce qui correspond à une baisse de 2 à 3 centimes d'euro par litre "si les prix du brut se maintiennent à ce niveau", a-t-il chiffré. "L'ensemble du marché va répercuter cette baisse de prix si elle se maintient", a assuré M. Schilansky. "Que le ministre insiste, soit, mais c'est le mécanisme de fonctionnement du marché qui veut cela". En revanche, la décision de l'AIE, qui vise à éviter une pénurie à l'approche des migrations estivales alors que l'approvisionnement en pétrole est perturbé par le conflit en Libye, "ne change pas fondamentalement l'équilibre entre l'offre et la demande" sur le marché. "Si la Chine continue à consommer comme elle le fait, les prix du brut repartiront à la hausse, ou au moins se stabiliseront", a-t-il jugé. De la même manière, "à un moment donné, les pays membres de l'AIE devront restocker et racheter les 60 millions de barils" qu'ils vont introduire sur le marché, a rappelé M. Schilansky, prévenant que cela risquait de créer "une nouvelle tension sur le marché". Une précédente baisse des cours du pétrole brut entre le 2 et le 15 mai avait entraîné une passe d'armes entre compagnies pétrolières et gouvernement. Un rapport de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes DGCCRF avait en effet souligné que la baisse des cours du pétrole brut n'avait été répercutée sur les prix à la pompe que dans une "proportion de 50% à 70% suivant les réseaux" pour le gazole et "pas ou peu pour le super 95". La ministre de l'Economie Christine Lagarde avait invoqué ce rapport à l'appui d'une menace d'imposer aux pétroliers de réduire le prix des carburants à la pompe. Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux fWifdcX. 308 226 330 34 189 380 106 183 187