Uneexploration de la nature humaine. Concept par Danny Nolan • Des millions d'œuvres originales, imaginées par des artistes indépendants. Trouvez votre bonheur.
Dans la majorité du temps, le travail est synonyme de stress, de rythme de vie infernal, de migraine. Il y serait impossible d’y trouver des plaisirs. Contrairement à ce que pensent la plupart des salariés, il est bien possible de marier les expressions travail » et plaisir ». Pour cela, il suffit d’adopter quelques habitudes de vie. Choisir une fonction/métier qui vous plaît Le plaisir au travail ne rime pas avec adultère, trafic de connexion ou autres choses insensées qui peuvent coûter un renvoi. Pour trouver du plaisir au travail, il faut avant tout aimer celui-ci. Il s’agit donc de vous orienter, voire de vous former, vers des tâches qui vous plaisent ou de viser une fonction que vous aspirez à exercer. Tout le monde n’a pas la même appétence en la matière alors vous devez savoir ce que vous aimez faire. Ce n’est pas parce qu’une tâche est rébarbative qu’elle ne va pas vous plaire, de la même manière que faire un puzzle ne plaît pas à tout le monde. Changer votre conception du travail La passion envers un travail donné dépend aussi de l’idéologie et la valeur morale de la société pour laquelle une personne travaille. Si vous concevez votre entreprise comme une entité qui vous exploite et dont le seul but est de vous exploiter pour faire toujours plus de chiffre d’affaires, vous aurez du mal à prendre du plaisir à faire ce que vous faites. Il est vrai qu’il est difficile de s’y retrouver si votre métier est de vendre des armes. La plupart des sociétés mettent du sens au travail et ont défini la mission de l’entreprise. En vous y intéressant, vous pouvez trouver un but qui va au-delà d’exécuter vos tâches et qui peut vous aider à prendre du plaisir à réaliser vos tâches. Aujourd’hui, les entreprises ont des politiques RSE de plus en plus poussées et cherchent à être de plus en plus réellement positives pour la société. Bien réaliser son travail Il n’y a rien de plus démotivant que de ne pas être satisfait de son travail. Le meilleur moyen de trouver du plaisir dans une tâche au quotidien repose sur le fait de donner le meilleur de soi-même et de réaliser un travail dont vous êtes fier. Lorsqu’une personne trouve une satisfaction dans ce qu’elle réalise, sa motivation augmente automatiquement au fur et à mesure du temps. Il est donc essentiel de ne pas rendre un travail bâclé mais un qui vous challenge, voire que vous pensiez impossible à réaliser. Le fait de réussir une tâche jugée difficile renforce l’égo et vous met dans un esprit de réussite qui vous fera apprécier d’autant plus vos réalisations. Plus elles sont d’envergure, plus vous aurez tendance à aimer ce que vous faites et les partager autour de vous. Se fixer des objectifs Si on n’arrête pas de parler des objectifs SMART, ce n’est pas pour rien. En dehors de leurs caractéristiques, il faut bien constater que se fixer des objectifs est bon pour la concentration et finalement pour le fait d’aimer son travail. Pourquoi ? Déjà parce que vous avez l’impression d’avancer. Il reste difficile d’apprécier son travail quand on se concentre sur une tâche qui peut, somme toute, apparaître comme banale. Voir le projet dans son ensemble et que vous avancez procure du plaisir surtout quand vous arrivez près de votre objectif. Gardez à l’esprit que toutes les petites tâches permettent de faire un grand tout. Bien aménager son espace de travail Un bon aménagement de son espace de travail fait partie des moyens qui permettront d’obtenir une certaine dose de motivation dans son travail. Pour cela, il suffit de le personnaliser en posant quelques objets personnels comme des photos de famille, des objets fétiches comme un porte-stylo, ou un calendrier porte-bonheur. Pour ceux qui ont la chance de travailler de chez eux, il ne faut pas hésiter à décorer la pièce qui sert de bureau. Certaines entreprises proposent même un petit budget pour le faire même si ce n’est pas le cas de la majorité. Dans tous les cas, faites en sorte que votre espace de travail soit agréable pour vous. Travailler sa créativité L’esprit de créativité est tout aussi important. En se résignant sur les acquis tout au long d’une carrière, un salarié se lassera rapidement de son travail et ne trouvera plus de plaisir à travailler. En augmentant sa créativité, et surtout, en ajoutant une valeur ajoutée à son travail, les tâches à réaliser deviendront de plus en plus intéressantes. Agir dans ce sens permettra à un individu de prendre plaisir à travailler. Ce n’est pas parce que vous réalisez une tâche depuis longtemps d’une manière qu’il n’existe pas un moyen de faire mieux avec moins d’efforts. Trouver des solutions efficaces permet également de mettre son empreinte dans le fonctionnement de l’entreprise. La créativité n’implique donc pas forcément de se mettre à l’art. Savoir prendre du recul Dans le monde professionnel, rien ne vaut le fait de travailler à fond, mais il est aussi important de réaliser de temps en temps un petit peu de recul par rapport à votre travail. Quelques remarques, quelques critiques de la part de son supérieur ou de ses collègues peuvent aider à améliorer vos performances au bureau alors autant les prendre en compte pour améliorer vos manières de faire. Il est possible d’utiliser celles-ci de manière positive pour améliorer ses performances personnelles dans le monde du travail. Avoir un feed-back peut aussi pousser une personne à offrir le meilleur d’elle-même et lui permet de dépasser ses limites. Pour un salarié, l’envie de se surpasser peut très bien devenir une source de motivation. Cultiver une bonne relation avec ses collègues Travailler ses relations avec son supérieur et ses collègues de travail fait partie des initiatives à prendre pour prendre plaisir à travailler. Il est clair que sans cela, la vie au bureau peut vite devenir un fardeau. Si chaque jour, vous devez voir des personnes que vous détestez, vous allez vite vous sentir mal à l’aise au travail et forcément ne pas y prendre du plaisir. Soyez donc ouvert et ne faites pas une frontière rigide avec vos collègues notamment ceux avec qui vous avez un bon feeling. Une personne qui réussit à se faire des amis au bureau viendra avec davantage de bonheur au travail, rien qu’à l’idée de retrouver des personnes qu’elle apprécie. Une évidence, nous direz-vous.
Salut, c'est à toi ! » : Comment travailler avec le livre 1 « Vive les vacances » ? (Code : D1-b-11) Il s'agit d'un début d'un cycle de formations sur l'enseignement de la langue française à partir d'exemples concrets issus du nouveau matériel. Les activités présentées sont mises en rapport avec les principes théoriques de l Rencontre avec Gaëlle Berlioz Directrice Artistique, spécialiste de mode outdoor et yogiste. Gaëlle vit à Chambéry. Elle nous raconte l’origine de sa passion pour la mode outdoor, son mode de vie green et comment elle conçoit son métier dans une industrie textile en mutation. D’où vient ton intérêt pour la mode outdoor ? Je viens d’une famille qui a toujours fait beaucoup de sport. Mes parents n’étaient pas des champions de haut de niveau, mais des touche-à-tout, qui pratiquaient l’escalade, le ski de fond, la randonnée glacière... Le sport a toujours été ancré dans la culture familiale. À Noël, par exemple, nous recevions du matériel sportif ! La veste de ski dernier cri était le cadeau ultime, mais ça pouvait être aussi une combinaison de surf, une paire de chaussures de rando. Bref, il n’y avait sous le sapin que les derniers vêtements techniques qui venaient de sortir. Sans aucun doute, ma culture pour la mode outdoor vient de là. Et c’est naturellement, comme j’adorais aussi dessiner, que j’ai décidé d’en faire mon métier en devenant directrice artistique. Après des études d’art appliqué, de stylisme et de graphisme, je suis rentrée dans un bureau de tendance, Promostyl, pour travailler sur les tendances sport. J’y ai passé 8 ans. Ce furent de très belles années. J’ai eu l’opportunité de travailler avec de superbes marques. Jusqu’au jour où ma conscience écolo m’a rattrapée… et que j’ai décidé de tout arrêter ! Que reprochais-tu au milieu de la mode ? Produire pour produire, toujours plus. J’ai eu un ras le bol de cette industrie, qui est l’une des plus polluantes de la planète. J’avais un sentiment de gâchis. Je ne m’y retrouvais plus. Et pourtant tu y es revenue ? Oui mais différemment ! Aujourd’hui je travaille avec des marques qui partagent mes valeurs et qui veulent faire bouger les lignes en étant plus responsables et plus humaines, comme Spiridon. Ma mission au quotidien désormais, c’est de répondre à cette question comment continuer à produire de manière propre sans puiser dans nos ressources ? C’est passionnant. Pour moi, on ne peut pas faire de l’outdoor sans être concerné par les questions environnementales. On ne peut pas polluer son propre terrain de jeu. En quoi consiste précisément ta mission pour Spiridon ? Mon rôle est de trouver les bonnes directions styles, le bon sourcing matière, les bonnes équipes de production au regard des valeurs humaines et écologiques de Spiridon. En ce moment, je suis dans la recherche de nouvelles fibres plus durables ; je source des textiles recyclés, recyclables et même compostables et qui soient en même temps d’une haute qualité technique. C’est hyper challenging et très excitant de se dire qu’on participe à un changement de paradigme dans la manière de produire. Et c’est formidable de le faire pour Spiridon qui a déjà un très bel univers, une identité forte, un engagement historique pour les femmes, pour la diversité… Tout cela a tellement de sens ! Et je suis convaincue qu’on n’est qu’au tout début de l’aventure. On va faire de grandes choses très engagées écologiquement et humainement pour Spiridon L’environnement, c’est un sujet qui te préoccupe depuis longtemps ? Depuis toujours ! De par mon éducation d’abord. J’ai grandi et je vis à en Savoie. Quand on a un tel terrain de jeu à disposition, on a envie de le protéger. En tout cas, c’est comme cela que j’ai été élevée par mes parents et même mes grands-parents. Quand j’étais enfant et que je partais en trek, mon père m’apprenait à ne rien laisser de notre passage, il m’enseignait l’observation de la nature, la nécessité de la respecter et de la protéger. Dans ma vie quotidienne, je suis assez intransigeante sur la question ! Je n’achète jamais de bouteilles en plastique - j’ai toujours ma gourde - je refuse les capsules de café, j’essaie de tendre vers le zéro déchet…. Alors forcément je veux travailler avec des gens qui partagent cette vision. De par ton expérience, tu as une très grande connaissance des marques. Quelles sont celles qui t’inspirent ? Mon modèle reste Patagonia. Je pense qu’Yvon Chouinard, son fondateur, était vraiment un visionnaire, un précurseur. Non seulement dans son approche écolo » de l’outdoor mais aussi dans sa vision des rapports humains. Son livre Let my people go surfing, qui expliquait la confiance qu’il avait en son équipe, est magique. De nombreuses boites mériteraient de s’en inspirer aujourd’hui ! Pour moi les valeurs humaines sont aussi importantes que les valeurs environnementales. Et c’est aussi pour ça que j’ai rejoint Spiridon. Le sport, ses vêtements et son histoire te passionnent. Et toi, es-tu sportive ? Je pratique le Yoga Ashtanga. J’ai fait une retraite en Inde pour passer mon diplôme d'Ashtanga, après mon départ de Promostyl. Finalement ma rencontre avec Spiridon m’a fait revenir à la mode, mais je continue de pratiquer quotidiennement et ça m’aide énormément dans ma vie de tous les jours, tant familiale j’ai des jumelles de 2 ans que professionnelle. J’en tire une force incroyable. Grâce au yoga, je connais mes limites, je sais comment m’endormir rire, je sais comment calmer mon mental, je sais écouter mon corps. C’est précieux ! Pour le reste, je suis une touche-à-tout ! Comme j’adore la nature, je pratique plein d’activités en extérieur comme la rando, l’escalade, le stand up paddle, le ski de randonnée… Mais je ne fais pas de compétition, je ne cherche aucune performance. Je fais du sport juste pour le plaisir, comme les Spiridoniens ! J’aime d’ailleurs beaucoup cette idée de plaisir dans la philosophie Spiridon. Je m’y retrouve parfaitement.
Traductionsen contexte de "un plaisir de travailler avec" en français-espagnol avec Reverso Context : C'était un plaisir de travailler avec vous. Traduction Correcteur Synonymes Conjugaison. Plus. Conjugaison Documents Grammaire Dictionnaire Expressio. Reverso pour Windows. Connexion. Inscription Connexion Se connecter avec Facebook Se connecter avec
Bonjour les grooveurs créatifs,Aujourd’hui je vous partage l’avis et le témoignage de Matthieu Banor qui a gagné en confiance et se sent meilleur rythmicien à la basse grâce à la méthode GROOVE LIKE A PIG de l’Université GROOVE LIKE A PIG™ et que l’on peut progresser en tout bienveillance avec cette communauté des amateurs de basse motivés.——->>>>>>> Partage cet article sur les réseaux sociaux afin qu’il puisse aider, et encourager d’autres amateurs de basse motivés à progresser ! -D’autres avis et témoignagnes concernant les méthodes de Johann et de l’Université GROOVE LIKE A PIG™Si toi aussi tu veux prendre plus de plaisir à jouer et t’éclater à la basse, l’université de Groove like a Pig est là pour t’aider à apprendre peu importe ton niveau !Pour lire d’autres témoignages d’étudiants satisfaits qui partagent leur expérience avec la plateforme du Blog et de l’Université GROOVE LIKE A PIG™, clique texte de la vidéo de Témoignage de Matthieu BanorJohann Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de témoignage dans laquelle on va faire l’étude de cas d’un élève de l’Université GROOVE LIKE A PIG qui a rejoint la méthode GROOVE LIKE A PIG pour devenir un Bassiste accompli en six mois. Bonjour Mathieu, comment vas-tu ? Ça fait super plaisir de te Bonjour, ça va très bien. Et toi, Johann ?Johann Ça va super bien, ça fait plaisir de pouvoir échanger avec C’est un plaisir de Alors, est-ce que tu pourrais te présenter et nous dire comment tu t’appelles, ce que tu fais dans la vie, ton âge, etc. ? S’il te D’accord, il n’y a pas de souci. Je suis Banor Matthieu, je suis né à la Réunion, je suis 974 !Matthieu Et j’ai 31 ans. Je travaille dans l’ D’accord, tu es électricien ?Matthieu Électricien, voilà. Monteur pour le réseau de distribution. Donc, Et à côté, tu as une passion qui est la basse Voilà. Ma passion, c’est la musique, la basse. Elle est Alors, comme on est dans une vidéo de témoignage, est-ce ce que tu pourrais en toute transparence, nous partager quel était l’objectif ou les objectifs que tu souhaitais atteindre ? Et quels étaient le ou des problèmes que tu souhaitais résoudre en rejoignant le programme de la Méthode GROOVE LIKE A PIG ?Matthieu Pour rejoindre le groupe… Je perds les mots là. Pour la formation, je voulais me remettre à travailler les bases pour partir sur de bonnes bases et en même temps être libre pour improviser sur ma je veux faire la la la sur ma basse, j’arrive sans réfléchir. Je n’ai pas besoin de chercher, c’est instantané. Et aujourd’hui, en étant inscrit à GROOVE LIKE A PIG mon objectif est de pouvoir réussir à faire ça. Et je sais que je suis entre de très bonnes mains avec Johann bien sûr. Et donc, en tout cas depuis que j’ai commencé la formation, il y a eu beaucoup d’ Est-ce ce que ce sont des améliorations dont ton entourage s’est rendu compte ou il n’y a que toi uniquement qui s’est rendu compte de ces améliorations ? Comment ça s’est passé ?Matthieu Ben, mon entourage s’est rendu compte aussi un peu par rapport au côté rythmique de la basse, c’est un peu plus propre, plus précis. Et par la suite, il y a eu moi-même qui m’en suis rendu compte en fait. Et après, question de créativité pour savoir un peu plus harmoniser vraiment sur le côté jouer même. Je ressens moins de coincement, je suis moins crispé, je suis on va dire un peu plus rassuré. Rassuré est le Donc, en fait tu as gagné en confiance, en clarté, tu as une vision un peu plus globale et spécifique des choses que tu souhaites accomplir avec ton instrument ?Matthieu C’est la confiance aussi, mais c’est surtout le côté… Avant, j’avais peur un peu du jugement, mais aujourd’hui Tu t’en Je m’en C’est vrai qu’on fait un bel accompagnement vis-à-vis de Si je fais des erreurs ou ce que je fais n’est pas encore très bon, ce n’est pas Est-ce ce que tu avais pris des cours auparavant avant de rejoindre l’Université GROOVE LIKE A PIG ou est-ce que le fait d’avoir rejoint la Méthode GROOVE LIKE A PIG t’a permis d’avoir plusieurs moments Aha ! » si je puis dire ? Genre tu as eu des déblocages justement sur la confiance en suivant certaines vidéos, en regardant certains programmes, en suivant les conseils des membres qui sont comme toi qui suivent le programme et qui sont dans un état d’esprit, si je puis dire positif, parce que c’est bien l’état d’esprit en fait. Comment tu définirais ça ? Comment tu as vécu la chose ?Matthieu Par rapport aux cours que je prenais avant, je vais dire que c’est différent, c’est plus bienveillant. Il y a beaucoup de boulots, il y a beaucoup d’assiduité à faire pour justement progresser et il faut se trouver le temps et se rendre disponible par rapport à comme on a déjà les cours en libre-service et qu’on dispose aujourd’hui de l’application, dès qu’on a un petit temps on peut se consacrer, c’est ce qui est exemple, si on prend des cours justement à l’école de musique, si un mardi on a une impossibilité d’être présent à ce moment-là, c’est perdu. Contrairement à l’Université, si par exemple je n’ai pas pu faire les cours le mardi, mercredi je peux redoubler d’ Oui, c’est pratique. Et puis, comme tu le soulignes bien, c’est vrai qu’avec l’application maintenant c’est encore plus facile. Parce que même si on sait qu’on ne va pas avoir de connexion Internet à tel ou tel endroit ou quand on est en déplacement, il suffit de télécharger en avance les vidéos. C’est comme sur Netflix, c’est vrai que là-dessus j’avais bien mis le paquet. J’ai travaillé comme un fou pour que ça puisse Bravo !Johann Merci. Et ce n’est pas fini puisqu’il y a encore plein de belles choses qui vont arriver un accordeur, un métronome et tout ça est vraiment pensé pour les bassistes, pour que ça reste ludique, fun et qu’en situation de groupe, de concert ou de studio, qu’on puisse être créatif et savoir comment réagir et ne pas rester qui t’a convaincu de rejoindre le programme de la Méthode GROOVE LIKE A PIG pour devenir un bassiste accompli ?Matthieu Ce qui m’a convaincu, ce sont tes vidéos que j’ai regardées au début sur YouTube. Au début, comme c’était des trucs sur Internet j’étais un peu sceptique, je pense que je ne suis pas le seul à être dans cette situation. On doute un peu, est-ce que c’est quelque chose de vrai ? On a cette ambiguïté-là. Après, je me dis Je vais me lancer. » Parce qu’il faut dire que tu as une tête je me suis inscrit, je suis rentré dans la formation, j’ai essayé d’être comme les formations se développent au fur et à mesure, les étapes se débloquent, on sent vraiment que l’on a un travail derrière et un travail à accomplir. C’est bien, c’est une bonne Et qu’est-ce que tu as appris qui t’a débloqué ? Soit que tu ne savais pas, soit dont tu n’avais pas conscience mais tu t’es rendu compte que Ah oui, ça, c’est vrai ! Il faut que je passe du temps là-dessus parce que j’entends la différence quand j’applique ce ou ces conseils. » Est-ce que tu as eu des moments comme ça ?Matthieu Oui, effectivement. D’ailleurs, pour le sens rythmique qui est mon chapitre en ce moment, c’est surtout les tables de pulsation rythmique, ce sont les doubles-croches, les triolets, les croches, les noires, les blanches, les rondes. Connaître ces valeurs-là et avoir une certaine précision sur ces valeurs-là débloque des choses et donne un côté plus rassurant quand on arrive à le bien sûr, peut-être pas encore bien proprement, mais j’essaie d’être le plus propre, le plus précis possible. Et ça me fait rendre compte qu’au fur et à mesure, comme tu demandes d’enregistrer chaque fois les cours, la veille quand j’écoute, je revois le lendemain quand j’enregistre et je réécoute le jour même, je réécoute celui d’avant, déjà il y a une précision un peu après c’est une question de liberté c’est-à-dire que je ne sens pas le je joue, je peux me permettre de tenter de faire quelque Du coup, tu gagnes un peu plus de prise de risque dans tout ce que tu fais. Avant, tu n’osais pas, tu avais peur, tu avais tous ces blocages-là, et du coup tu as gagné en liberté vis-à-vis de ça en fait ?Matthieu Voilà, c’est ça. Après, ce n’est pas bon, je C’est ce qu’il faut faire parce que ta vie ne va pas s’arrêter là. C’est faudrait être bienveillant envers soi-même, c’est la base de chez la base pour pouvoir avoir une relation saine avec soi-même et sa routine de pratique et être sûr d’avoir une courbe exponentielle aussi d’un point de vue en parlant de plaisir ou de Play-jouir comme j’aime le Du coup, tu as beaucoup plus de Play-jouir à jouer avec des batteurs, à jouer en groupe, est-ce que ça se ressent aussi dans ton jeu maintenant ?Matthieu Oui, beaucoup. Bien sûr, il y a ce côté-là de décoincement que j’ai quand je jouais, je réfléchissais beaucoup. Et aujourd’hui, non, je réfléchis moins et je joue vraiment. Voilà, c’est vraiment ce côté-là. Et le fait que ça ne me bloque plus… Après, si ce n’est pas bon ce n’est pas bon, mais j’ai ce côté de dire Ah, tant pis ! C’est passé quand même. »Johann C’est vrai parce que souvent on se met des barrières mentales, on s’impose des choses, il faut que ce soit X, Y, Z et pas autrement. Et comme je le dis souvent dans les programmes, on ne laisse pas assez de place aux surprises parce que dans ce qu’on considère comme des erreurs, finalement une erreur, c’est quoi ? C’est quelque chose qu’on considère être une erreur, tu vois ?Matthieu C’est bête mais quand on se rend compte qu’on a fait une erreur en fonction ce que je considère comme une erreur, la plupart du temps, en tout cas pour moi et j’imagine que c’est aussi le cas pour toi, il y a plein de belles choses qui en ressortent. On se dit Ouah ! Cette note je ne l’avais pas prévue, mais c’est plus beau que ce que j’avais prévu. Totoche ! »Même en mélangeant avec la connaissance théorique, harmonique et ce qu’on veut, etc. des fois, juste le fait d’avoir glissé d’une case et Ah ouais, c’est mille fois plus joli, c’est vraiment ma sensibilité ! » Et comme j’aime le dire, il n’y a pas de hasard, il n’y a que des C’est vrai. Par exemple, les approches chromatiques en général, c’est quand même assez délicat pour réussir à les placer dans les chansons de louange ou du Sega. On joue la note en chromatique, mais faire durer le passage chromatique pour aller sur la note elle-même, parfois il faut bien la choisir. Mais parfois, ça vient tout seul. On ne réfléchit pas et ça glisse, ça sonne et ça Donc, c’est cool. Je suis super content que tu aies gagné aussi sur cet aspect-là l’aspect instinctif. C’est vrai que je vous prends un peu la tête » vis-à-vis de ça parce que c’est important de pouvoir développer ça le plus rapidement ne vais pas dire que c’est une erreur, ce serait un peu prétentieux parce que chacun fait du mieux qu’il le peut en fait. On a tous des chemins différents, des ambitions différentes, mais on peut vite justement s’enfermer dans un cadre, dans un moule très académique et en fait l’instant n’a plus sa tu le disais tout à l’heure, on ne va être que dans la partie cérébrale pour faire un petit clin d’œil à la méthode TCF, tu vois ?On n’est que dans la partie tête et moins dans l’émotion, on est moins dans les fesses, dans les grooves. Et du coup, on est tout le temps en train de calculer ce qu’on doit selon la règle 1,25 page 22, sur Do mineur on doit faire la septième, renversement, la sous-dominante et la sous-adjacente et Pythagore, et là ça va C’est exactement ça parce qu’on cherche, on se dit Normalement si je mets la sixte, ça va sonner. » Et on pense comme ça, mais au bout du compte on peut sans réfléchir mettre cette note-là pour transiter vers un autre C’est ça. Et en fait, on développe son instinct, et au-delà de développer son instinct on développe aussi naturellement son goût, le choix des que comme je le dis souvent, notre cerveau à la différence de notre conscience, il sait ce qu’on aime parce qu’on le nourrit tous les jours on écoute de la par exemple, tu écoutes du Richard Bona ou du Marcus Miller, tes bassistes préférés, forcément ton cerveau sait ce que tu aimes chez ces dans la partie inconsciente et consciente, c’est d’aller chercher ce que tu aimes et de faire ressortir ça naturellement sans avoir besoin de rentrer dans un truc mécanique genre Alors, Marcus Miller ferait comme ça, Richard Bona ferait… »Il ferait peut-être une phrase comme ça, mais peut-être pas. Tu vois, peut-être qu’il nous surprendrait avec un autre fill, plus tôt on développe sa personnalité, mieux c’est pour le C’est exactement Est-ce qu’il y a quelque chose qui t’a freiné au moment de l’inscription ? Par exemple, est-ce que le tarif a été un frein pour toi ? Comme tu l’évoquais tout à l’heure, tu avais des doutes malgré ma tête sympathique selon tes mots et que tu t’es dit Est-ce que c’est vraiment sérieux ou c’est de la bullshit, un truc de marketing en ligne ? On me vend du rêve, on ne va jamais s’occuper de moi, il n’y a pas de suivi. » comme ça pourrait arriver malheureusement, j’ au-delà de tout ça, une autre question Est-ce que tu es satisfait du suivi qu’on apporte dans l’université GROOVE LIKE A PIG ? Le support, l’ambiance, que tu peux nous parler de tout ça ?Matthieu Effectivement, tu es disponible dès qu’on a besoin de toi et ton équipe, bien sûr. On peut compter sur toi et ton équipe. Dès qu’il y a un souci dans le ou les deux jours qui suivent, il y a toujours une réponse, on ne reste jamais sans réponse et c’est ça qui est bien. J’aime pour répondre à la première question, ce qui m’a fait franchir le pas par rapport au tarif…Effectivement, je me suis dit que c’est un peu excessif, mais je vais investir là-dedans. Est-ce que c’est vraiment quelque chose qui va fonctionner ? Je voulais essayer, et après pourquoi pas ? Pourquoi pas ? Je me suis tenté et par la suite, je me suis inscrit et je ne suis pas déçu, au C’est marrant parce que tous les étudiants disent à chaque fois la même chose, c’est que vous voyez ça comme un investissement vous investissez en vous et sur vous, vision long terme. Et ça, c’est un truc de fou, c’est vraiment comme ça que tu le vois en fait ?Matthieu C’est un investissement pour plus tard aussi, quand tes gosses vont arriver Absolument. C’est vrai que tout ce qu’on fait dans l’université, que ce soit dans le passé, là maintenant, tout de suite dans le présent et dans le futur, quand on rejoint le programme de la Méthode GROOVE LIKE A PIG, on donne accès à tout, tout, demain, je fais un programme avec Marcus Miller, vous y avez demain je fais un programme avec je ne sais pas quel autre bassiste x, y, z, vous y avez fait, je pars vraiment du principe que l’idée est vraiment de vous c’est vraiment de vous aider, de vous accompagner à faire péter le plus de blocages possibles tant sur le rythme, tant sur la théorie, tant sur l’oreille, tant sur votre répertoire. Parce que comme je l’explique à chaque fois, un répertoire de prédilection ça peut être le rock, le métal, le jazz, le neo-soul, la musique caribéenne, la musique de l’île de la Réunion, la musique Brésilienne… On ne va pas faire tous les pays du monde, mais on a tous des affinités avec un certain l’idée, c’est vraiment de pouvoir développer son ton super pouvoir » dans ton exemple, je ne suis pas du tout un jazzman même si j’ai énormément collaboré avec des jazzmen comme Marcus Miller, Trilok Gurtu, Jan Garbarek. On me dit Mais pourquoi t’es pas un jazzman ? » Justement parce que je ne suis pas un jazzman, ça attire les jazzmen ! C’est ça l’astuce et en plus c’est l’idée est de maîtriser son répertoire de prédilection et aussi de s’ouvrir à d’autres répertoires pour pouvoir enrichir ton jeu, ta créativité, ta sensibilité, la manière dont tu vas t’exprimer et toucher le cœur des personnes qui t’écoutent avec tes émotions, avec son ton son ou ton groove tout Effectivement, c’est ce qu’il faut. L’essentiel, c’est se faire Du coup, est-ce que tu aurais un dernier conseil à partager pour ceux qui hésiteraient à rejoindre le programme ? Ou alors, qui étaient comme toi dans cette phase, genre Ah, j’ai un doute. Est-ce que c’est vraiment sérieux ? Malgré les vidéos de témoignage que j’ai vues, peut-être qu’il a payé des acteurs parce qu’on est sur internet. Moi, j’ai peur. »J’ai déjà eu ce coup-là et je comprends. Par empathie, je me mets à la place de tout le monde, c’est normal de se poser des énormément sur moi aussi, je rejoins des programmes et des fois je me pose des questions si c’est légitime, si c’est est-ce que tu aurais une question qui pourrait aider quelqu’un qui hésite à rejoindre le programme, qui a peur, qui pense que ce n’est pas fait pour lui, qu’il n’y a pas de suivi sur le long terme, etc. ? Bref, ce genre de choses qu’on pourrait se dire d’un point de vue monologue Personnellement, je dirais aux futurs pigs de ne pas hésiter parce que franchement c’est quelque chose qui mérite. On ne se sent pas seul, on se sent soutenu par rapport au forum, par rapport à Johann et son sûr, on aura toujours ce doute-là, mais ce qui complète cette formation-là, il y a beaucoup pour nous faire progresser. A ne pas Je te remercie du fond du cœur pour ton partage et pour ton témoignage, pour ton retour sincère et honnête sur ce qu’on fait dans l’Université GROOVE LIKE A PIG, pour vous aider à créer des lignes de basse, improviser, à gagner en confiance et comme tu le disais, avoir plus de je vous remercie d’avoir regardé ce témoignage. Et puis, on se retrouve prochainement sur la chaîne YouTube et/ou de l’Université GROOVE LIKE A PIG.Est-ce que t’as envie de faire Voum ! » avec moi ?Matthieu OK, pas de Allez, c’est parti !Matthieu Voum !GROOVE LIKE A PIG——->>>>>>> Est-ce que tu as envie d’avoir plus de Play-Jouïr et de fun avec ta basse ? Dis-le moi dans les commentaires ! -Blog – Cours de basseAPPRENDRE LA GUITARE BASSE AVEC UN PROGROOVE LIKE A PIGLa Plus Grosse Communauté Francophone des Bassistes Motivés et Bienveillants qui Veulent Passer au Niveau Supérieur
Manytranslated example sentences containing "était un grand plaisir de travailler avec toi" – English-French dictionary and search engine for English translations. Jevous propose un travail de reportage 🙂 L'identité et le site sont vraiment au TOP 😉 Je ne manquerai pas de te recommander encore, et j'ai hâte de travailler sur de futurs projets avec toi, Océane . Deux Heures Seize Nous avons confié à Pauline la conception de notre site internet, et nous ne le regrettons absolument pas, nous sommes très heureuse du résultat ! Pauline est d
Etpuis si jamais l’hyperactivité du retraité te guette, dis-toi que le repos c’est bien aussi. D’ailleurs, une citation de Christian Bobin me semble très appropriée à ce sujet : « Ne rien faire, c’est un métier très difficile.Il y a très peu de gens qui sauraient bien le faire.
ERikO. 276 108 166 258 297 246 1 260 188

c est un plaisir de travailler avec toi