IsabelleMorini-Bosc : "'La vie secrĂšte des chansons' surprend, dans le bon sens du terme" ĂDITO - L'Ă©mission musicale de France 3, prĂ©sentĂ©e par AndrĂ© Manoukian et diffusĂ©e ce vendredi
J'ai besoin d'Ă©crire car cela me bouffe l'esprit, je me rends malade. C'est pourquoi j'ai besoin de vos avis extĂ©rieurs. voici ma "longue" histoire Il y a 6 ans, mon mariqui Ă©tait Ă l'Ă©poque mon copain depuis qq moiset moi, au cours d'une sortie entre potes, on a sympathisĂ© avec une fille de notre Ăąge j'ai 32 ans. Le contact entre nous est tout de suite bien passĂ©, je dirai surtout entre elle et moi, moi j'Ă©tais super contente d'avoir une amie On a les mĂȘmes dĂ©lires, on se ressemble un peu dans la façon d'ĂȘtre un peu timides, de manquer de confiance en soi, bref on s'Ă©tait bien trouvĂ©es ! Plus les annĂ©es passent, entre sorties et activitĂ©s ensemble, on devient de plus en proches et elle est mon tĂ©moin Ă mon mariage. Elle, je ne l'ai connu que cĂ©libataire. Je ne lui ai jamais su d'histoires, mĂȘme des petits flirts, sauf une fois, mais c'est le garçon qui n'Ă©tait pas intĂ©ressĂ©. Mais voilĂ , qu'il y a qq mois, je la prends en grippe ! Quand on fait des sorties entre potes, j'ai remarquĂ© qu'elle parlait souvent avec mon mari. Je ne pense pas qu'elle le fasse dans l'intention de le draguer, seulement ben elle parle avec lui. Cela se trouve, ils parlaient peutetre dĂ©jĂ beaucoup ensemble, je ne sais pas et c'est lĂ que j'y fais gaffe ! Je sais qu'ils s'entendent bien, qu'ils ont qq points d'intĂ©rĂȘt communs... et j'enrage.... Quand on est au resto Ă plusieurs, j'ai remarquĂ© qu'elle s'asseyait toujours Ă cĂŽtĂ© de nous ou Ă cĂŽtĂ© de lui peut-ĂȘtre le faisait-elle il y a qq annĂ©es avant et que je n'y faisais pas gaffe !. ET du coup, je me fais des films "je me dis que mon mari aurait dĂ» l'Ă©pouser elle, qu'ils font un joli couple, qu'ils ont des choses en commun" ou je me dis que je vais tomber malade ou mourir du jour au lendemain, et qu'elle, pour le consoler, viendrait le voir, et hop, ils sortent ensemble, sont en couple, et tous nos amis trouvent ça normal ! je me dis qu'elle n'attend que ça pour sortir avec lui...que cela fait qud mĂȘme 6 ans qu'elle est cĂ©libataire, sans petit copain, vous trouvez pas ça bizarre ? Bref, ces pensĂ©es nĂ©gatives me bouffent l'esprit, je n'arrive pas Ă penser Ă autre chose, je vous rassure que mĂȘme si je me fais des idĂ©es, cela va bien dans mon couple, je veux dire que mon mari ne me dĂ©laisse pas, on s'entend trĂšs bien. C'est MOI toute seule qui me met dans cet Ă©tat de nerfs, dans cet Ă©tat de perte de confiance de soi ! Est-ce que cela vous ait dĂ©jĂ arrivĂ© ? comment vous avez fait pour vous en sortir. Peut-ĂȘtre faut-il qu'on la voit moins ? Quand on fait des sorties ensemble, j'essaie d'ĂȘtre naturelle, mais je lui en veux Ă cette amie alors qu'elle, cela se trouve ne se doute de rien et vis sa vie tranquille et moi je vais mal... j'ai besoin de vos avis extĂ©rieurs, objectifs pour me remonter le moral, je me sens enlisĂ©e.... merci
LAVIE DANS LE BON SENS ClÎture de liquidation - Publiée le 25/01/2017 dans le journal Le Journal du Pays Yonnais (85) LA VIE DANS LE BON SENS. SASU au capital de 1200 Euros. 18 RUE DU FIEF DU PRIEUR, 85500 LES HERBIERS 817846306 R.C.S. La Roche-sur-Yon Par décision de l'Associé unique en date du 20/01/2017
Prendtoujours la vie dans le bon sens et avance Pensée d'Hamidou Saye sur Vie. Une citation au hasard ? >> Prend toujours la vie dans le bon sens et avance sans autres formes de procÚs. Citation d'internaute. Hamidou Saye. Historien, Geographe, Journaliste, Lecture, Mali, Mopti, 1986 Vous aussi, créez votre propre citation ! Vous avez inventé
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A force de tout vouloir maitriser, on peut perdre pied. Getty Images/iStockphoto Aline, chef de projet dans la pub et mĂšre de deux jeunes enfants, ne peut pas s'endormir le soir sans vĂ©rifier que sa liste "des choses Ă faire dans la journĂ©e" est bien terminĂ©e. Ce qui implique par exemple d'avoir pris un rendez-vous chez l'orthophoniste pour sa petite derniĂšre, vidĂ© le lave-vaisselle, lancĂ© une machine de blanc, prĂ©parĂ© sa prĂ©sentation pour sa rĂ©union de travail du lendemain et prĂ©vu les menus de la semaine, si possible avec "un maximum de lĂ©gumes". "Je me rends bien compte que je me prends la tĂȘte pour tout, mais impossible de m'arrĂȘter, mĂȘme si je m'Ă©puise moi mĂȘme", confie la jeune femme. David, cadre dans une banque, reste pour sa part des heures au boulot, "incapable de partir avant d'avoir relu chaque dossier client et d'ĂȘtre bien sĂ»r qu'il n'y a aucune erreur". Il est par ailleurs de son propre aveu "ultra exigeant" avec ses enfants et s'angoisse Ă la moindre de leurs mauvaises notes, convaincu que leur avenir est fichu s'ils descendent en deça de 16/20. Aline et David sont chacun Ă leur maniĂšre ce qu'on appelle des "control freaks". Leur Ă©quilibre personnel semble tenir sur une corde raide prĂȘte Ă rompre Ă la moindre dĂ©faillance. Comment expliquer cette obsession de la perfection, comment, Ă©galement, parvenir Ă "lĂącher prise", selon l'expression consacrĂ©e? La rĂ©ponse Ă un discours dominant qui vante le contrĂŽle dans tous les domaines"Cette question est plus difficile qu'il n'y paraĂźt Ă traiter", prĂ©vient Lysiane Panighini, psychopraticienne. "En effet, constate-t-elle, ce concept du "contrĂŽle Ă tout prix" Ă©merge vĂ©ritablement depuis quelques dĂ©cennies et prend de plus en plus d'ampleur dans la vie des gens". S'appuyant sur une approche "narrative" de la psychologie, Lysiane Panighini, part du postulat que "certaines attitudes et comportements se co-construisent Ă partir d'un contexte sociĂ©tal, religieux, familial, communautaire, etc." Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1⏠sans engagement "Tout le monde a pu et peut constater un discours dominant expliquant qu'il est bon de contrĂŽler ou dominer ses affects, ses Ă©motions, sa prise d'alcool, son poids et qu'il faut ĂȘtre parfait en tout, corps, culture, Ă©tudes ". Le message subliminal sous-jacent Ă©tant, poursuit la psychopraticienne, "grĂące Ă cela, vous serez aimĂ©, admirĂ©, vous ne serez jamais malade, vous ne serez jamais triste, vous ne serez jamais trompĂ©e". En bref, "vous accĂ©derez au bonheur, Ă la plĂ©nitude et serez parmi les meilleurs". Une volontĂ© illusoire d'influer sur le cours de sa vieA la notion de contrĂŽle, prĂ©cise en effet Lysiane Panighini, s'ajoute non seulement celle de perfection mais aussi "celle de pouvoir". "ContrĂŽler donne une illusion de pouvoir sur les Ă©vĂ©nements de la vie, l'idĂ©e Ă©tant 'tant que je contrĂŽle, rien ne peut m'arriver'". C'est ainsi que, constate-t-elle, certaines personnes crĂ©ent "tout un tas de pares-feux, de gardes-fous, de balises de toutes sortes pour que tout soit parfait". Ceci notamment afin "de voir le meilleur de soi dans le regard de l'autre et d'exister ainsi". Une analyse qui parle Ă Marion, 34 ans "J'ai cette impression que si les autres, mes proches, mes collĂšgues, admirent ma maitrise de tout, envient mon organisation au cordeau, cela valide mes choix. J'ai besoin de cette approbation, d'ĂȘtre finalement, comme lorsque j'Ă©tais enfant, 'une bonne Ă©lĂšve'". Le risque que tout s'effondre au moindre imprĂ©vuProblĂšme cette pression que les perfectionnistes s'infligent arrive souvent Ă un point de non retour, avec le risque que la mĂ©canique bien huilĂ©e se grippe. Et lĂ souvent, c'est le drame. CĂ©cile est ainsi tombĂ©e en dĂ©pression aprĂšs une dĂ©convenue professionnelle "J'avais prĂ©parĂ© un Ă©vĂ©nement durant des mois, ne nĂ©gligeant aucun dĂ©tail, y consacrant mes journĂ©es et souvent mes nuits. Et puis le jour J, Ă©videmment, tout ne s'est pas passĂ© exactement comme prĂ©vu, le traiteur a Ă©tĂ© en retard, un intervenant s'est dĂ©commandĂ©. Et soudain, le monde s'est ouvert sous mes pieds, j'ai eu la conviction de n'ĂȘtre qu'une Ă©norme erreur. J'ai mis des mois Ă remonter la pente, Ă me pardonner des choses dont je n'Ă©tais pas responsable, Ă accepter que je ne pouvais pas tout contrĂŽler, en rĂ©alitĂ©." "Le risque de cette obsession du contrĂŽle est en effet la dĂ©valorisation de soi, la culpabilitĂ© de ne pas atteindre cette perfection qui n'est Ă©videmment pas de ce monde", commente Lysiane Panighini. Autre consĂ©quence, ajoute-t-elle, "un seuil de frustration trĂšs bas" "la colĂšre ou l'angoisse surviennent dĂšs que les choses ne se passent pas comme on a dĂ©cidĂ© qu'elles devaient se passer". Avec Ă la clĂ©, des rĂ©actions disproportionnĂ©es. Le "lĂącher prise", quelque chose qui ne se dĂ©cide pasPour tenter de sortir de cette prison de la perfection dont on s'enferme souvent de notre plein grĂ©, il est souvent recommandĂ© de "lĂącher prise". Un concept Ă©galement "assez nouveau et que l'on retrouve dans bon nombre de livres, qui vous expliquent comment lĂącher prise en 10 leçons", observe Lysiane Panighini. Ce qui est, souligne-t-elle, "un non-sens total". "Le lĂącher-prise ne peut relever d'un acte volontaire. C'est comme si l'on disait Ă quelqu'un 'Sois spontanĂ©'". Le lĂącher-prise ne s'apprend pas, c'est un Ă©tat d'ĂȘtre ou un Ă©tat d'esprit, je dirais, apaisĂ©, avec lequel on se sent en congruence, sans rĂ©volte." En somme, une acceptation de ce qui est. Sans tomber donc dans les solutions toutes faites, Lysiane Panighini essaie d'aider ses patients Ă "mettre la barre moins haute et Ă descendre le curseur de leurs exigences". Trouver l'origine de cette obsession de la perfectionIl s'agit dans un premier temps de "dĂ©construire ce comportement que l'on peut rĂ©sumer par 'je veux tout contrĂŽler et ĂȘtre parfaite'", de façon Ă ce que la personne se rende compte que le problĂšme "ne vient pas d'elle, mais d'un contexte." Il n'est Ă©videmment pas question de porter un jugement "mais de se dĂ©-identifier du problĂšme, de s'en dĂ©solidariser". Identifier les effets nĂ©fastes de cet excĂšs de contrĂŽleEnsuite, poursuit Lysiane Panighini, "nous identifions les effets de ce comportement dans la vie de la personne et de ceux qui l'entourent." Par exemple, est ce que cela lui fait faire des choses qu'elle n'a pas envie de faire? Est-ce que cela nuit Ă son couple, Ă ses relations de travail?? Est-ce que sa volontĂ© de tout contrĂŽler va parfois Ă l'encontre de ses valeurs, comme la compassion, l'empathie, le plaisir de profiter simplement de la vie? "L'intention du travail Ă©tant que la personne se reconnecte avec ses valeurs, dont le problĂšme la coupe sans qu'elle s'en rende vĂ©ritablement compte." De cette façon, l'enjeu n'est plus de "lĂącher prise" mais d'ĂȘtre Ă nouveau en cohĂ©rence avec soi mĂȘme, de retrouver de l'agrĂ©ment. Existe-t-il en effet meilleure motivation pour changer que celle de jouir d'avantage de l'existence? Se rappeler du temps oĂč l'on ne cherchait pas Ă tout maĂźtriserEnfin, derniĂšre Ă©tape de la thĂ©rapie proposĂ©e par Lysiane Panighini, tenter de se rappeler d'une Ă©poque oĂč l'on n'Ă©tait pas dans ce type d'excĂšs de perfectionnisme. "On fait alors prendre conscience Ă la personne qu'elle a su faire "autrement" Ă certains moments de sa vie, et que cela avait trĂšs bien fonctionnĂ©, sans inconvĂ©nients majeurs." "Lorsque cette prise de conscience est faite, cela va assez vite dans le bon sens", assure Lysiane Panighini. Sophrologie, kinĂ©siologie, pleine conscience... des approches pour prendre du reculD'autres approches sont Ă©galement envisageables. Carine Dufour est sophrologue et assure que cette mĂ©thode de relaxation et de dĂ©veloppement personnel est "trĂšs efficace" et l'a Ă©tĂ© sur elle. Juliette confirme "j'ai testĂ© pendant ma grossesse on ne contrĂŽle rien pendant sa grossesse, un cauchemar pour une control freak!. Cela m'a Ă©normĂ©ment aidĂ©e, rassurĂ©e, obligĂ©e Ă lĂącher du lest et Ă me projeter dans l'avenir pour accepter de ne pas avoir de prise sur le prĂ©sent". Maud, qui termine ses Ă©tudes de kinĂ©siologie, en vante pour sa part les bienfaits "les kinĂ©siologues se concentrent sur la façon d'Ă©quilibrer l'Ă©nergie dans l'organisme, c'est une approche qui s'inspire de la mĂ©decine chinoise. Cela permet de rĂ©soudre certains problĂšmes Ă©motionnels, de lutter contre des blocages, en prenant conscience que le corps est un tout. En agissant sur le corps, la kinĂ©siologie permet de rĂ©duire le stress, souvent Ă l'origine de cette volontĂ© de tout contrĂŽler". David quant Ă lui a dĂ©couvert la pleine conscience. Cette technique de mĂ©ditation lui a fait dĂ©couvrir "la nĂ©cessitĂ© de s'arrĂȘter parfois, de prendre du recul et d'ĂȘtre simplement dans l'instant prĂ©sent et non plus dans l'anticipation permanente". Il continue Ă vĂ©rifier scrupuleusement ses dossiers, mais parvient Ă©galement Ă "mettre de cĂŽtĂ© ce qui ne mĂ©rite pas de se ronger les sangs", Ă lĂącher du lest, Ă rentrer plus tĂŽt chez lui et Ă ne plus paniquer dĂšs que son fils "ramĂšne des notes en dessous de la moyenne". Un bon dĂ©but. Journaliste, Caroline Franc Desages est aussi l'auteur du blog "PensĂ©es by Caro" Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely