Jai pas connu papa mais mama elle a géré. 30 Nov 2021
Alice répondu il y a 4 ans Bonjour, ça n’arrive qu’à nous? Personne pour un conseil… Merci! Anne répondu il y a 4 ans Bonjour Alice, je suis maman d’une petite fille de 5 ans. Aux alentours de ses 3 ans, il y a eu des moments où elle m’écartait et ne voulait que son papa. Même si je savais que c’était une attitude très courante chez une petite fille à cet âge-là , je l’ai parfois vécu très mal, donc je comprends ce que vous ressentez. En revanche, mon mari et moi étions tous les deux très présents à la maison, aucun de nous deux ne s’absentait particulièrement, comme c’est le cas pour vous. Et c’est pourquoi je pense que vous devriez relativiser un peu et voir aussi le côté positif du comportement de votre enfant. Car votre enfant ne vous rejette pas. Vous même vous dites que ça se passe plutôt très bien quand votre mari est absent. En réalité, votre enfant il sait que vous êtes là pour lui tout le temps, il ne se pose même pas la question. Mais il a compris aussi que son papa risque de ne pas être là pour lui tout le temps et du coup quand il est là votre enfant veut profiter de lui au maximum. Ne pensez vous pas que cela est positif ? ça veut peut-être dire que la relation entre votre enfant et votre mari est vraiment très forte et belle. Et quand votre enfant vous dit “demain c’est maman”, il le pense mais pour un enfant de 3 ans “demain” est une notion très abstraite qui veut parfois juste désigner quelque chose qui se passera dans le futur. ça veut donc peut-être juste dire que lorsque vous serez à nouveau que tous les deux c’est vous qui vous occuperez de lui. Votre enfant a, selon moi, une logique imparable 🙂 Vous pourriez peut-être profiter de ces moments où votre mari et votre enfant sont ensemble pour faire quelque chose pour vous qui vous fasse vraiment plaisir, qui vous redonne de l’énergie, et que vous n’avez pas plus trop le temps de faire. Votre enfant doit vous sentir zen pour être rassuré. Moi, le jour où j’ai arrêté de me prendre la tête parce que ma fille m’écartait parfois de la relation qu’elle avait avec son père, les choses se sont vite améliorées. J’ai peut-être été trop longue, désolée…. Sofie répondu il y a 4 ans Bonjour, je suis dans une situation similaire. Je suis enceinte de 8mois et je n’arrive plus à avoir de la distance avec les réactions de mon fils de bientôt 4ans , je m’énerve, je lui dit que je vais partir… Je réagis très mal et très intensément. En même temps dès qu’il se lève il dit non pas maman, tu viens pas au parc avec nous, t es pas belle, t es méchante, tu restes ici tu viens pas au parc avec nous etc cela me provoque des crises de pleurs horribles, je me sens inutile et rejettee, en plus je ne peux plus le porter, ni jouer dehors avec lui car j’ai beaucoup de contractions. C’est une situation très difficile, pour le papa aussi, il dit que je dramatise mais je n’arrive pas à prendre la distance nécessaire pour ne pas prendre les choses trop à cœur. Flo répondu il y a 2 ans Bonsoir ce post date mais je suis dans la même situation. Est ce que ça s’est arrangé ? Comment avez vous fais ? Flo répondu il y a 2 ans Bonsoir ce post date mais je suis dans la même situation. Est ce que ça s’est arrangé ? Comment avez vous fais ? Alexandra répondu il y a 2 ans Cela est dommage de pas avoir plus de témoignages car je suis dans la même situation mais inversée ! Il s’agit de ma fille 4 ans qui rejette son père et de temps à autre, veut bien jouer avec lui mais refuse catégoriquement les soins, c’est très dur à vivre…! Courage Julie répondu il y a 2 ans Bonjour, je me trouve dans la même situation, j’ai des jumelles de 2ans, depuis 1 an environ 1 de mes filles me rejette totalement, elle ne veut jamais que je l’habille, la porte, l’installe pour manger, la couche etc.. Sa sœur elle est très proche de moi et a un comportement normal. Je suis désemparée sachant que cela fait plus d’1 an que la situation dure et que c’est tous les jours sans exception ! Ma pédiatre est assee fermé à la discussion, pas à l’écoute, expédie les consultations. J’ai l’impression qu’on ne s’en sortira jamais. Si quelqu’un passe par là et a des pistes à explorer. Merci ? Laëtitia répondu il y a 1 an Je suis dans la même situation mais inversée, mon fils est accroché à moi et quand son père veut s’occuper de lui, si je suis présente , il ne veut rien faire avec son père. Il est capable de se priver de loisirs pour ne pas rester avec lui . Mon fils a 5 ans et la situation empire. Alors papa est très ferme et moi plus cool en éducation peut-être que du coup , il élimine en quelque sorte son père si je suis là Morgane répondu il y a 1 an Bonjour, je suis tombée sur vos commentaires en surfant sur le sujet car je suis également concernée depuis plusieurs mois par cette situation. Depuis 1 an environ mon petit garçon ne jure que par son papa. Au départ j’arrivais à prendre du recul par rapport à cette situation en me disant que ça passerait. Mais depuis quelques semaines mon fils qui a 2 ans et de plus en plus repoussant. Avant c’était uniquement des non lorsque son papa était présent mais lorsque j’étais seule avec lui il acceptait parfaitement mon aide et ma présence. Mais depuis quelques semaines dès le matin j’essuie des colères importantes lorsque je suis seule avec lui pour le préparer et que son papa est au travail. Et c’est la même chose tout au long de la journée dès qu’il s’agit de changer une couche, aller à la sieste, etc… Nous partageons toujours des moments de jeu et de rigolade mais voilà tous les moments de soins sont très compliqués lorsque je m’occupe de lui. Ce n’est pas facile. De savoir que la situation a fini par s’arranger pour vous pourrais être un bon coup de pouce pour le morale car je sais qu’il ne faut pas baisser les bras mais ce n’est pas facile psychologiquement d’être rejetée par son enfant. Christelle répondu il y a 11 mois Je suis maman d’une petite louloute de 4 ans qui est très proche de son papa mais le rejette au moment du coucher ou si elle appelle la nuit. Son papa fait mes deux huit et ne vit pas très bien cette phase de rejet. J’essaye de les ´pousser’ à se retrouver tous les deux mais ça n’est pas simple. Avez-vous déjà vécu quelques chose de similaire ? Emy répondu il y a 11 mois Bonjour, Je tombe également sur ce post et vos commentaires. Maman d’un petit garçon de 3 ans, je vis la même situation depuis toujours, mon fils est très proche de son père mais, depuis 6 mois, il a basculé dans un “rejet” de sa maman il me crie dessus, essaie de me taper, hurle quand nous répondons “C’est maman” à l’une de ses nombreuses questions “Qui me couche ? me lave ? vient me chercher ?” etc. Je me suis toujours dit qu’il devait y avoir un lien avec les circonstances de sa naissance, puisque mon fils est né en urgence, par césarienne, et comme j’étais en salle de réveil/récupération, il a vécu ses 2 premières heures en peau à peau avec son père. Je crois pourtant être une mère aimante, présente et attentionnée. C’est très perturbant et blessant, même si bien sûr je ne doute pas une seconde que mon fils n’a aucune “mauvaise intention”. 9 fois sur 10, je prends sur moi ; mais j’avoue que la 10ème fois est souvent…éreintante. AURIEZ-VOUS DE BONS CONSEILS pour réagir / agir / enrayer ce type de comportements ? Merci, par avance Didier répondu il y a 10 mois Bonjour tous le monde, j’espère que vos situation se sont améliorées. Je suis papa d’une petite beauté de 2,5 ans. Sa première année, elle l’a beaucoup passé avec sa mère durant son congé maternité plus phase de reconversion professionnel. Moi je continuais à travailler. Ma fille me rejetait pour les calins, biberons nocturnes. J’avais le droit quand même aux jeux où j’étais le seul à pouvoir me rouler sur le tapis avec elle. Mais je souffrais de ne pas pouvoir la calmer quand elle pleurait … J’ai alors continué à m’occuper d’elle sans lui imposer ma présence en penant sur moi. Je pense que ça l’a interpelée et l’inverse s’est produit. Elle ne voyait que par moi. Et ceci s’est renforcé avec l’entrée en crèche. Ayant un bon contact avec les enfants quand je m’occupais d’autres enfants, elle avait ce sentiment de jalousie. ” c’est mon papa” disait elle. Sa maman a repris une activité professionnelle et elle fait de moins la voir, l’a tournée vers sa maman. Maman tout le temps. Elle est où maman. Je pense que les enfants ne savent pas gérer leurs emotions et se fie à leur propre ressenti . Je pense qu’ils captent le ressentiment de ses parents et beaucoup d’autres choses que l’on soupçonne même pas et peuvent en jouer. Un peu comme nous adulte sans savoir ce que leur rejet provoque réellement pour nous. Et c’est normal. Pour revenir à mon histoire, sa maman a le sentiment d’abandon lorsqu’elles sont toutes les 2. Apparemment elle me demande tout le temps. Elle fait pareille avec moi quand nous sommes que tous les 2. Du coup sa maman s’est mise en position de “soumission “. C’est à dire ferme mais vraiment vraiment pas du tout. Négociations, achat de jouets compulsifs… Ma fille a commencé à faire des crises avec elle, taper, mordre et rejets ponctuels. Quand on est tous les 3 elle rentre plus facilement dans ces états avec sa maman. Même si elle me fait des crises de temps en temps, ça ne dure pas longtemps. Après une bonne prise de tête où je la sensibilise sur mes limites d’être humain, elle cherche à renouer contact avec un sourire prononcé. Finalement pour moi ça va mieux depuis que je me montre tel que je suis réellement, sans me dire qu’elle est trop petite pour comprendre et que je ne me focalise plus sur les rejets qu’elle peut avoir pour moi. Je sais que j’ai une place dans sa vie et je sais qu’elle sait que je l’aime je lui dit toujours Voilà une synthèse de mon témoignage simplement personnel J’espère que cela sera utile à quelqu’un. Caro répondu il y a 10 mois Bonjour Cest rassurant de ne pas se sentir seule en lisant tous ces temoignages. Je suis dans la meme situation avec mon fils de 2 ans , je suis a la fin de mon conge parental d’un an, je suis tout le temps avec lui, je lui dedie quasiment toute la journee et depuis quelques semaines il me rejette, des que je le prends il hurle et veut son papa alors qu’a la maison cest moi qui gere tout depuis 1 an . Cest tres frustrant pour une maman, il ne me fait jamais de calins, pourtant nous partageons plein de choses . Jai le sentiment quil ne m’aime pas et c’est tres dur car avec son pere cest le contraire il ne voit que par lui, c’est son hero , il veut tout faire avec lui . Parfois quand je lui demande un calin il me dit non et se tourne vers son pere pour lui faire a lui . Je me dis qu’il a lintelligence de me narguer et s’il fait ca volontairement c’est quil a peu damour pour moi . Cest vraiment dur de ne pas ressentir d’amour de son enfant … FPH répondu il y a 8 mois Bonjour si qqun peut me donner son avis. J’ai un garçon de 2 ans et demi et depuis près d’un an déjà il a une préférence pour son papa j’étais enceinte mais là c’est vraiment fort. Il ne veut pas me faire de câlins il ne veut même pas que je l’habille ou que je lui change la couche. Je suis très frustrée car je suis jalouse et j’aimerais un moment avec mon fils. J’ai l’impression qu’il ne m’aime pas. Tout le monde me dit que surtout à cet âge il devrait préférer sa maman.. Darius_Malibu répondu il y a 8 mois Petit post, pour vous souhaiter à toutes et tous bon courage… Dans l’histoire, j’ai le bon rôle, je suis le papa et le petit ans ne fait que de rejeter sa maman, de façon assez violente. Elle est pourtant super présente, tant sur le plan sentimentale que logistique… À vous lire toutes et tous on se rend compte que nous ne sommes pas isolé mais ça ne rend pas la chose plus facile à vivre pour autant…. je n’ai aucun conseil à donner. tout ça finira par passer, très vite on l’espère… Je voulais surtout mettre ce message car je sais que ma femme le lira, et je voulais lui dire que c’était une maman extraordinaire. Je t’aime mon p’tit cul ! Ps de mon côté je vais faire un effort sur le linge que je laisse traîner… Ce sera déjà ça de gagné Audrey répondu il y a 8 mois Bonjour, mon fils a 14 mois, il me rejette dès la présence de Papa. Je n’existe plus quand son père et là , il se met à hurler si je m’approche de lui, ou si je dois m’occuper de lui car papa doit partir il hurle . C’est très très dur , quand son père n’est pas là cela se passe bien … Bossant de nuit c’est mon mari qui l’amène à la crèche, papa souhaite que mon fils vient vers moi avant de partir à la crèche mais échec total il hurle et moi j’en peux plus de cette situation . J’ai vu vos témoignages mais pas d’enfants de 1 an ce qui ne me rassure pas . Lauriane répondu il y a 6 mois Bonsoir à tous, Déjà , ça fait du bien de ne pas se sentir seule dans cette situation. Je suis la maman de deux garçons, l’ainé a 2 ans et demi, le cadet vient d’avoir un an. Mon fils aîné me rejette de plus en plus. Ça fait quelques semaines que ça va crescendo. Avant, on avait tous nos rituels du matin, du soir, de la sieste…. C’est moi qui lisais les histoires, on se parlait beaucoup. On avait notre complicité, et puis le papa avait la sienne aussi. C’est lui qui s’occupe des allers retours à la crèche, il avait toujours son môme de jeu avec son père en fin de journée et puis le week-end, il prenait le relais et le temps qu’il ne pouvait pas avoir en semaine. Ce n’est pas un enfant facile, il faut savoir agir et le comprendre…. Il peut très facilement se laisser déborder par la colère, la frustration, les émotions très fortes, les crises peuvent être très impressionnantes. C’est plutôt un enfant bourrin, attachant mais très bourrin…. Il n’est pas câlin, il a appris à en faire et a bien voulu en faire à la crèche, ça reste encore difficile. Voilà Un peu le contexte. Et bien depuis quelques semaines, il s’est mis à rejeter des moments avec moi. Je me suis pas inquiétée, après tout, il fait souvent des moments qui alternent phase papa/phase maman. Puis il a commencé à lever la main sur moi, à vouloir me frapper dans les moments de crise et de frustration. Il a essayé sur son père mais ça arrive nettement moins souvent. Et puis depuis peu, tous les moments de soin bain, habillage… sont rejetés, le peu de moments avec lui qu’il me restait n’existe plus. Je me sens nulle, rejetée. De plus j’en veux au père, je me dis qu’il ne fait rien pour arranger les choses et qu’il n’essaye pas de comprendre ma tristesse. Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression que plus aucun lien n’existe entre mon fils et moi et je n’arrive presque plus à éprouver de l’amour pour lui, c’est comme si j’avais l’impression de ne plus être sa mère. Il semble totalement indifférent à moi. Je le vis très mal, je suis profondément triste , des fois j’ai l’impression que je suis au bord de la dépression et je me sens très seule face à tout ça. J’en viens à ne plus supporter le père. Je ne sais pas quoi faire, je sais que je dois me ressaisir et être forte pour surmonter car ce n’est qu’un passage mais comme je le disais, je ne suis pas soutenue par le père et j’ai trop de rancoeur envers lui, je me sens seule face à cette étape alors que j’attendais plus de soutien de lui. Merci de m’avoir lue, et bon courage à tous. ALAIN répondu il y a 6 mois Bonjour, Je suis papa d’une petite fille adorable de 3 ans que j’aime plus que tout .Nous rencontrons ma compagne et moi des situations similaires où ma fille demande beaucoup plus après son père. C’est papa qui me change, c’est papa qui me fait dormir ou bien encore je veux être à côté de papa pour manger … Cela crée très justement de la frustration chez sa maman et ma fille se comporte parfois durement avec elle. Témoin de certaines scènes, je tente de la reprendre pour amener ma fille à être plus proche de sa maman en lui expliquant certaines choses . Mais je fait l’objet de remarques pas toujours agréables de la part de ma compagne qui me reproche de ne pas la soutenir et me demande d’être plus dure envers la fille . Est ce la bonne méthode ?, je n’ai pourtant pas l’impression de passer sur tout mais je comprends la tristesse que ma compagne ressens. Je me dis également que je devrais m’effacer un peu de temps en temps … Bonne journée. Elsa répondu il y a 4 mois Bonjour à tous, J’ai versé des larmes en lisant vos témoignages. Je suis “heureuse” de voir que je ne suis pas seule dans cette situation. Mon fils à 2 ans et depuis ses 1 an même peut être un peu avant, il a une énorme préférence pour son père. Par exemple il refuse de prendre le bibi avec moi, il réclame son père, il va même sortir du canapé, pour lui laisser la place et monter sur lui pour boire le bibi. Si son père n’est pas là , il sera assis à côté de moi, mais jamais sur moi. Si je lui propose de venir avec moi, c’est un non catégorique. S’il se fait mal, il va se contorsionner dans mes bras lorsque je veux le réconforter, alors qu’avec son père il se calme presque immédiatement. Les câlins sont uniquement pour son père. Si je le contrarie frustration difficile pour lui il peut s’énerver à crier, voir même me taper. J’ai tout essayé pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas le faire. Calmement, en m’énervent.. il se calme, puis il recommencera. C’est sans fin. A côté de ça, nous échangeons beaucoup de moments de rigolade, c’est ce qui m’aide à tenir par le jeu j’arrive à avoir des câlins, mais ça ne vient jamais de lui directement, pourtant je m’en m’occupe énormément, et il peut se passer quelques journées où c’est un enfant idéal, mais ça retombe vite. Je me remets beaucoup en question, je me dis que je suis une mauvaise mère, qu’il ne m’aime pas. C’est terrible comme sensation. Dans ces moments là et je sais qu’en tant que mère on est pas sensée le penser et surtout le dire!! Mais je peux en venir à regretter de l’avoir eu. Avoir un enfant pour vivre des rejets… Pourtant je l’aime plus que tout. Alors je m’accroche, je lui répète sans cesse que je l’aime peut être que je devrais arrêter ? Car de savoir que je l’aime malgré tout, il se permet plus de rejets et de colères ? Effectivement, j’ai remarqué que son père ne lui dit pas sans cesse qu’il l’aime. Peut être que je dois essayer ça ?? Mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à m’empêcher de lui dire, lui faire des bisous dès que je l’ai dans mes bras. Comme un commentaire plus haut, j’ai également vécu une césarienne. Est-ce que le peau à peau avec son père les premières heures de sa vie ont pu jouer sur leur relation et la nôtre par ricochet ? Bref je n’ai aucune solution, et je me sens désemparée. Son père ne comprends pas pourquoi il est comme ça avec moi, et ne me soutient pas plus que ça. Je pense qu’il trouve que j’en fais trop lorsque je me met à pleurer. Mon entourage également, pense que je devrais prendre du recul et en gros arrêter de “gindre”, car mon fils est trop mignon… Oui en société Alors je le fais, je n’en parle plus. Je me sens d’autant plus seule et abandonnée dans ma tristesse et mon désarroi. Enfin voilà . Mon témoignage n’aide personne mais me permets de me libérer un petit peu. Merci à ceux qui me liront sans jugement. Cordialement Vio répondu il y a 4 mois Bonjour Elsa, Je suis touchée par votre message, je vis une situation similaire, dans les moindres détails… c’est mon 2ème enfant, j’ai une fille qui a 4,5 ans, et j’ai déjà vécu la même chose avec elle en moins accentué qu’avec mon fils, je m’étais dit qu’avec un garçon ce serait différent, mais c’est pire malheureusement. Les choses avec ma fille se sont calmées vers son entrée à l’école, et le 1er confinement pendant lequel elle s’est rapprochée de moi. Aujourd’hui elle dit d’elle-même qu’elle nous aime tous les deux, et ne fait plus de préférence, et ce que ça fait du bien 🙂 à l’époque j’étais allée consulter une psychologue à la PMI, j’étais très très mal je pleurais beaucoup et n’arrivais pas à prendre sur moi devant ma fille. Avec mon garçon, j’ai heureusement plus de recul étant déjà passé par là , mais ça reste très douloureux pour une maman d’être rejetée pas son enfant. En tous cas, je suis persuadée que vous avez raison de faire des câlins à votre fils et de lui dire que vous l’aimez sans cesse. Je ne pense pas que cela changerait la situation de vous priver de le faire, mais après tout, il faut tout essayer ! Raccrochez vous à l’idée que cela ne va pas durer même si ça parait long, et que votre fils vous aime, n’en doutez pas. Nour répondu il y a 4 mois Bonjour à tout le monde, Que dire d’autre que je me sens bien moins seule dans cette situation. Mon fils de 2 et demi n’a de yeux que pour son père. Cela fait 8 mois environ que cela dure et c’est extrêmement difficile pour moi. Dès qu’il s’agit de moi pour quoi que ce soit, ce sont des pleurs, des cris, même de la violence physique, il me tape beaucoup. J’ai beau essayer de tenir le coup et être ferme lorsqu’il dépasse les bornes mais c’est trop dur. J’ai maintes fois craqué et pleuré devant lui, tellement j’en souffre. Qu’est ce ma vie si mon fils ne m’aime pas ?! On en parle beaucoup avec mon conjoint et il me soutien comme il peut, ce n’est pas facile pour lui non plus. J’aimerais savoir, pour les personnes qui ont témoigner ici il y a longtemps, pouvez-vous dire si la situation s’est améliorée ? Et les autres de l’évolution de votre côté ? Merci 10000x pour vos mots et vos témoignages qui me donnent de la force de croire en l’entraide. Merci. Virginie répondu il y a 3 mois Bonjour je vis également la même chose avec mon fils et c’est très dur de l’accepter. Il a toujours été très proche de son père et en congés maternité combien de fois je n’arrivais pas à le calmer et quand son père arriver c’était lui le sauveur de pleurs. Au début je trouvais ça beau qu’ils réussissent avoir un lien fort mais aujourd’hui mon fils a 3 ans et c’est malheureusement toujours le cas. Je dis malheureusement car malgré mes efforts, les tentatives de rapprochement avec lui ul me rejette en bloc et je ne suis que la solution de secours quand papa est pas là . Je n’arrive plus a accepter cette situation, ça me fait très mal car d’autant plus c’est moi qui m’investit le plus dans son éducation, qui gère les rendez-vous, qui l’habille, qui le gâte, son père est là que pour les bons moments dû à son travail donc je trouve cela totalement injuste. Papa est très papa poule j’ai l’impression d’être la méchante. J’avais besoin de l’ecrire car ça ne devrait pas être l’ordre des choses et que c’est très injuste. Du coup je n’ai plus envie de faire des efforts je m’efface quand le papa est là . J’espère que plus anciens vos relations se sont arrangés. Valérie répondu il y a 2 mois Bonjour à tous, Je suis en larme devant vos messages car je vis la même situation. Cette sensation de rejet de ma fille qui vient d’avoir 3ans. Jai eu une césarienne d’urgence tt s’est bien passé mais j’ai refusé le peau à peau dès le début de peur d’être rejetée. Mon conjoint à eu droit ce merveilleux moment ! Pendant ma période d’allaitement de 10mois,on était très fusionnelle avec ma fille et elle a grandit ^^. Elle réclame et devient i2ndépendante et j’en suis ravie mais ma relation a changé immédiatement pour le développement père-fille il en faut pour papa aussi au début je ne disais rien car c’est un lien naturel. Mais les mois passe, et dès que je m’approche du père, elle me frappe, cri… Etc Encore quelques mois plus tard elle me repousse sans raison pour les câlins, les bisous, la douche l’habiller,le biberon, les jeux. C’est son père avant tt. Comme tous ici, j’ai mis ça de côté et je me suis dit que c’est une passade. Cela fait 2 ans qu’elle me rejette en présence de son père pour tt. Sauf quand il l’a dispute, je suis présente, quand elle a un bobo je suis présente. On ne joue pas bcp ensemble ce n’est pas mon truc on est plus sur des activités créatives. Quand son père est absent tt se passe très bien, même si j’ai la réflexion ”avec papa, je peux faire ça…” et autant les câlins à 2 ça va, mais dès que papa arrive, je n’existe plus pour elle et me rejette à nouveau. Ça me fait hyper mal se comportement mais c’est une enfants… Typiquement, ce matin, encore une fois, elle me repousse pour l’habiller et là j’ai craqué. Je me demande si je suis une bonne mère, si elle à vraiment besoin de moi ou si je devrais simplement partir et la laisser avec son père. Je me sens vraiment inutile. Son père est très présent et lui “cede” tt, je suis là méchante maman avec des règles à respecter… Comme ça a été dit précédemment par une maman, je suis tellement épuisée que j’en regrette d’être dans cette situation même si je l’aime de tt mon cœur. Ça m’a totalement bloqué sur l’envie d’en avoir un 2ème. Si c’est pour vivre ça une seconde fois, je ne survivrai pas ! Birou répondu il y a 2 mois Bonjour à toutes et tous, Et bien, voilà la première fois depuis que mon enfant me rejette que je vois que je ne suis pas la seule. De sa naissance à environ ses 18 mois, mon fils n’avait pas de préférence. Mais à ses 18 mois, tout a changé du tout au tout complétement rejetée, je ne peux plus le lever le matin, le préparer sans que ça se termine en crise de larmes, je ne peux plus l’installer à table, lui donner à manger, le laver, le coucher, sans avoir le droit à un “non, pas maman, je veux papa!”. Pourtant, papa n’en faisait pas plus que moi, ou mieux que moi… Comme les précédents témoignages, j’ai aussi et heureusement encore des moments de partage avec mon fils. D’autant plus que mon enfant est très sage et soucieux de respecter les consignes, donc mon entourage a du mal à comprendre ma problématique. D’autant plus que lorsqu’on est en extérieur, je redeviens le parent référence pour lui. Nous avons eu une phase de calme vers ses 3 ans et 2 mois, mais voilà que ça repart de plus belle. Je suis passée par toutes les phases “ha, cool, un peu de temps pour moi”, “euh, je sers à rien, j’aimerai bien participer aux tâches”, “je me sens triste d’être ignorée”, “je me sens déprimée d’être rejetée”, “je suis en colère de cette situation”. Je consulte une psychologue qui m’accompagne bien. Mais je n’en vois pas le bout. Je m’efforce d’avancer en me disant qu’avec le temps, cela s’arrangera. Mais en faisant le bilan cela dure depuis presque 2 ans. Je n’arrive plus à parler de cela en gardant mon calme avec le papa; et pire, je lui en veux de cette situation. Ma relation avec le papa ne tient à rien. J’ai le sentiment que lorsque je suis seule avec mon fils et ma fille aînée tout se passe bien, que je gère comme une wonderwoman. En parlant de ma grande, d’ailleurs, elle est plutôt de mon côté, se sent rassurée par moi et je suis sa parent référente. Le fait que mon fils me rejette me bloque vis-à -vis de ma fille, alors que cela devrait contrebalancer son rejet. Si des mamans et papas ont passé cette terrible phase pouvaient témoigner du dénouement de leur situation similaire, ça nous serait précieux, je pense. Déjà de lire autant de témoignage et de voir que mon enfant n’est pas le seul à avoir ce schéma me rassure qq part. J’espère que mon témoignage en aidera d’autres. Bon courage à tous les parents rejetés. Nikki R répondu il y a 1 mois Bonjour à tous, Je suis surprise de voir autant de maman en détresse comme moi, malheureusement quasiment pas de solution et cela le déprime. Cela fait peut-être 1 semaine ou 2 que mon fils de 5 ans me rejette, qu’il commence à me dire qu’il préfère papa, que même lorsqu’il se réveille la nuit, il veut papa. Et nous qui étions si proches, si fusionnels, je ne comprend pas ce qui s’est passé. Pourquoi ce refus si brutal. Que dois-je faire? Comment dois-je me comporter? Combien de temps cela va-t-il durer? 1 semaine, 1 mois, 1 an? Je ressens exactement vos sentiments et ça me fait très peur Alexia répondu il y a 1 mois Bonjour à toutes, Je vis exactement la même chose je ne vais pas le répéter pour la xieme fois ici. L’on fils fait celà depuis ses 11 mois. Je suis désemparée ma famille et mon homme ne comprennent pas ils disent que je suis une grosse gamine qui pleure pour rien et que ça leur casse les oreilles de l’entendre. Alors que faire a part fermer sa bouche, accepter la situation où plus tôt la subir? Je dois garder le sourire ou comment ça se passe ? Je le vis très mal j ai l’impression que ça n’en finira jamais Help pkease !!! Emmasar répondu il y a 1 mois Comme j’ai de la peine pour vous en lisant ces messages dont le sujet me concerne aussi. Mon fils de 1 an veut que la main de son père en promenade ou ses bras mais surtout pas les miens. Je savais, par echo, que les enfants pouvaient avoir une préférence mais j’espérais que ça soit la mienne lol. Je me suis sentie toute bête ce soir pendant la balade, j’avais le sentiment de tenir la chandelle. Et j’observais mon fils , avoir sa 1ere préférence … mais pas pour moi hélas. Quand je vous lis toutes et tous , je me sens moins seule et j’aimerais vous soutenir et vous dire que ça va passer et effectivement peut être que notre problème » c’est qu’on ne prend pas assez de temps pour nous ? Que nous sommes trop dévoués ? Et que n’importe quel être humain , peu importe l’âge, ne supporterait pas une personne totalement dévouée ? Je ne sais pas… j’essaie de comprendre . D’ailleurs si un psy ou une sage femme ou n’importe quel professionnel de la petite enfance pouvaient nous donner un petit conseil 🙂 gros bisous à toutes et tous Fanie répondu il y a 4 semaines Bonjour à vous, merci de vos partages, enfin je me sens moins seule! Tout a débuté avec ma fille aînée vers ses 20 mois, mais je me disais que cela était dû à ma grossesse, que c’était le complexe d’oepdipe, etc… Elle a 5 ans aujourd’hui, ça s’est légèrement atténué au niveau paroles et gestes de rejet, mais ouvertement, elle nomme préférer son père. Ensuite, à l’âge de 2 ans et demi, mon fils, se met à agir de même et pire encore, quant à ses paroles blessantes à mon endroit. Encore une fois, j’ai un 3ème bébé. Je redoute d’avoir brisé mon lien avec mes deux plus vieux. J’essaie différentes interventions et rien ne fonctionne. Pire, je suis intervenante et je ne parviens à rien avec ce que j’ai de plus précieux au monde, mes enfants. Je perds confiance et goût de m’investir au fil des jours. Je tente de m’accrocher à ma petite de 3 mois, je profite de chaque moment ne sachant quand viendra le moment du rejet… espérant sauver ce qui reste de lien maternel possible avec cette petite dernière. J’ai toujours voulu des enfants et je les ai eu à fin trentaine! Je comble tous leurs besoins je tente de les cajoler mais ils me repoussent, je leur dit que je les aime, j’essaie de jouer avec eux, je leur parle, je les écoute, je leur offre des choix mais… j’iimpose des limites, ce que papa fait peu. Il est du type à tout leur donner, de là leur préférence. Je redoute des enfants rois, je ne sais plus comment agir. Parfois je me dis que je devrais partir et les laisser car je suis une mauvaise mère malgré mes bonnes intentions. Merci de m’avoir lue. Laura répondu il y a 3 semaines Bonjour a toutes et tous je suis tombe sur ce post comme tt le monde ici je pense apres une enieme fois ou je me sens rejete par mon fils de bientot 3ans…. Il a tj ete proche de son papa mais je remarque quil alterne par des periodes bien avec moi et dun coup svt qd je travaille un peu plus et quil est plus avec son pere il devient horrible avec moi… a peine je me leve il me voit il crie non maman retourne au lit! Il hausse le ton avec moi, me provoque et me dit je veux mon pere!!! Ayant fait 5 ans de traitement Pma avec mon ex cet enfant qui est venu naturellement etait tres attendu par moi son papa en avait deja3! Bref tt ca pour vous dire que ca me rassure de ne pas etre la seule ds cette situation que je vie tres mal. Je m’investi bcp pour lui et fait bcp de choses avec lui mais des que papa est la depuis qq jour pour moi cest la misere et la il me dit que je ne dois pas misoler que je dois garder un lien avec lui mais qd tt ce ke vous avez cest du negatif et des cris ben vous ny arrivez plus, alors je suis peut etre une mauvaise maman je ne sais pas mais je souffre énormément ca cest certain Anna répondu il y a 3 semaines Bonjour, idem, ça fait du bien » de vous lire et se sentir moins seule. Pour ma part cela a commencé quand mon fils avait environ 6 mois. Il en a 3 et va bientôt rentrer à l’école. J’associe ça à la dépression post partum. Certaines sont dans le même cas? J’étais au plus mal + boulot atroce + rupture conventionnelle + confinement avec un bébé de 8 mois. J’étais l’ombre de moi même. Mon mari ne comprenant pas trop et voulant m’aider à sa manière s’est beaucoup isolé avec mon fils en me disant non mais laisse, je gère ». Et tout a vrillé. Mon fils me tapait, huuuurlait quand c’était à moi de me lever la nuit par exemple, me poussait et pleurait quand j’étais avec mon mari. J’ai l’impression d’être sa belle mère. Il s’exprime très bien et verbalise clairement non pas maman! » je t’aime pas maman ». J’en ai parlé à plusieurs professionnels psy, hypnotherapeuthe, psy de la PMI, famille, sophrologue… personne ne comprend et personne ne prend ça vraiment au sérieux oh! C’est une passade ». Mais elle est très longue cette passade… Ça me fait très peur pour un éventuel 2e Je l’aime et j’arrive à en parler un peu avec lui, quand il sent que je suis triste il me fait un câlin, mais il revient vers papa. C’est presque pire de me dire qu’il ne contrôle pas du tout ça et qu’il n’y a rien à faire C’est papa et c’est tout… Est ce que quelqu’un s’est sorti de cette situation?? Merci et courage à toutes!
Elleavait 2 ans et demi quand j’ai rencontré son papa. Dès le début de la conversation, il l’a mentionnée en me disant : “Si tu veux de moi, il faudra me prendre avec ma fille”. J’ai trouvé ça drôle de parler déjà d’un “nous” alors qu’on venait de se rencontrer. Nous nous sommes revus très vite et je suis tombée amoureuse de lui. Mais j’ai attendu
Publié le 4 sept. 2020 à 800Mis à jour le 5 sept. 2020 à 1819A 21 heures, les parents peuvent reprendre le cours de leur vie. Ils soufflent un petit peu… avant de préparer une réunion ou répondre au mail envoyé dans l'après-midi par une journaliste. Le rendez-vous est fixé le lendemain avec Sabrina, une jeune mère de 35 ans, avocate dans un cabinet d'affaires. D'ici là , je vais essayer de dormir car mes deux bébés 2 ans et 11 mois ne me laissent pas tranquille », écrit-elle, par mail. Sabrina n'a en effet pas connu une nuit complète depuis deux ans. Les raisons ? Un boulot plus que prenant et deux enfants en bas âge. Avant même la galère du télétravail et du confinement lire notre article sur le sujet , sa vie s'est peine le petit Nael arrivé, qu'une Lilia était déjà en route. Je suis revenue de congé maternité enceinte », confie-t-elle. Première réaction ? Merde, pour le boulot, ça va être compliqué. » Mais vite raisonnée, Sabrina s'est lancée dans cette nouvelle aventure. Comme je suis passionnée par mon travail, j'allais plaider les dossiers importants et je déléguais le reste », explique-t-elle. Un rythme tout de même effréné pour cette jeune maman qui n'a jamais vraiment décroché, au point d'aller plaider la veille de son accouchement. Aujourd'hui, aidée par une nounou et son mari, directeur de projet dans une entreprise, elle se force à rentrer plus tôt » du boulot, aux alentours de 19 h 45 pour être avec ses deux enfants. Je privilégie la qualité du temps passé avec eux plutôt que la quantité. Ce sont des moments où je suis pleinement avec eux ». Et pour rattraper ce qu'elle manque, elle travaille désormais… le dimanche matin. Moment où son mari prend le relais, de même le soir lorsque la jeune mère doit rester au boulot. Mais la charge mentale reste très présente et les enfants ont tendance à réclamer en priorité leur télétravail en vedetteComme Sabrina, le quotidien de jeunes parents est loin d'être toujours rose. Au-delà des nuits raccourcies, des biberons et autres couches, c'est de jongler entre le boulot et la vie personnelle qui reste le plus compliqué. Chez Elise et Sébastien, tout a changé avec la naissance de leurs filles de 4 ans et 18 mois. Elle est cadre dans les ressources humaines, lui, consultant indépendant. Depuis la naissance de sa seconde fille, la maman est désormais à 80 % pour se libérer une journée avec ses enfants. J'ai regretté de ne pas voir grandir ma première fille », explique-t-elle. Même si son temps de travail a été officiellement réduit, ainsi que son salaire, elle ne travaille pas moins pour autant, mes journées sont plus intenses », reconnaît-elle. Heureusement pour le couple, une invention des temps modernes a changé la donne le télétravail. Tous les deux travaillent de la maison le vendredi, réduisant ainsi leurs frais de garde -qui s'élèvent à environ euros par mois en nounous- et l'un d'entre eux peut aller chercher la grande à l'école, à l'heure des parents » à 16 h le télétravail qui s'est développé à la faveur de la crise sanitaire, certains parents ont pu grappiller un peu de sommeil sur les temps de préparation et de transport du matin. Une étude anglaise a pointé que les jeunes parents dormaient en moyenne 4 h 44 par nuit, 59 % de moins que les 8 heures généralement préconisées. Chez Carlo, associé avec sa femme dans deux TPE et père d'une petite fille de deux mois, c'est encore moins. Avec les trois biberons la nuit, on dort 3-4 heures par nuit week-end inclus. Même si avant on avait un rythme de sommeil court, autour de six heures, là c'est plus difficile à gérer. Heureusement, c'est temporaire », veut-il se arrive, on fait des réunions et le sujet, au départ, vous semble à des années-lumière de vos préoccupations de retour de congé maternitéPour ces trentenaires, leurs congés parentaux s'apparentent plutôt à un congé télétravail ». Carlo va prendre ses onze jours de congé paternité à la fin du mois, mais je ne me voile pas la face, même si je ne serai pas du tout au bureau, je continuerai à suivre mes mails », explique-t-il. Sauf qu'il faudra bien un jour lever le pied, reconnaissent-ils. Et c'est déjà prévu ils vont très prochainement recruter pour se dégager du temps et s'occuper de leur petite fille. Avec l'ère de la digitalisation, c'est plus facile. Je ne sais pas comment faisaient nos parents avant », poursuit Sophie*, 35 ans, cadre dans la communication, qui peut aisément répondre à ses mails à tout moment ou avoir son ordi sur les genoux dans les transports. Tu as fait la grasse matinée ce matin ? »Peur d'être placardisées, de devoir gérer les remarques employeurs, et de perdre en efficacité, ce qui inquiète surtout ces jeunes mères, c'est le retour du congé maternité. Le premier mois, c'est horrible c'est comme si vous débarquiez dans un nouveau boulot, explique Mathilde, 33 ans, manager marketing dans une grande entreprise, mère d'un petit bout de 17 mois et enceinte du deuxième. On arrive, on fait des réunions et le sujet, au départ, vous semble à des années-lumière de vos préoccupations quotidiennes. »Au cours de ses douze années de travail, plusieurs recruteurs n'ont pas hésité à demander à Sophie si elle avait prévu d'avoir des enfants… Une question discriminante et surtout illégale, passible de euros d'amendes et trois ans de prison. Dans son ancien boulot, ses supérieurs étaient très regardants sur les horaires et finir à 18 h 30 avait tendance à être mal vu ». Même si, en France, le temps de travail a été réduit avec la mise en place des 35 heures au début du siècle, une étude de l'Insee révèle que 40 % des cadres vont au-delà de 40 heures de travail hebdomadaires, et que 24 % dépassent les 45 heures .Un rythme ardu à tenir quand on doit encore faire ses preuves », surtout à 28 ans, âge auquel Sophie a eu son premier enfant. En particulier quand il faut allaiter Il a fallu demander un frigo performant au travail et une salle pour tirer mon lait, se souvient-elle. Et difficile de rester discrète vis-à -vis des collègues lorsque tout le monde te voit débarquer avec ta mini-valise de matériel. »En même temps, la pression sociale et personnelle, encore plus avec la crise, est grande pour rester au top, sur tous les fronts. Raison pour laquelle, les femmes cadres ont tendance à retarder la maternité pour consolider leur situation professionnelle. Elles ont en moyenne leur premier enfant à 33 ans, contre 30 pour femmes ouvrières ou employées, note l'Insee . Il faut être une bonne mère et toujours performante au bureau. On trouve des ressources qu'on n'imaginait pas. L'être humain s'habitue à tout », remarque Sophie. Être une superwoman, en somme, avant de se rendre compte qu'on ne peut pas tout gérer. Aujourd'hui dans une autre entreprise et mère d'un deuxième enfant, elle relativise Si une journée, j'ai une baisse de régime au travail, tant pis. Alors qu'avant, cela me minait, et je me disais que j'allais me faire virer. » J'étais le seul papa de ma boîte »Comme Sophie, Sabrina, l'avocate, a dû encaisser les remarques de ses confrères Tu as fait la grasse matinée ce matin ? » Et parfois, la pression est plus vicieuse. Alors enceinte de jumeaux, avec une grossesse difficile, Julie*, aussi avocate, a dû s'arrêter plus tôt. Elle a négocié avec ses médecins de décaler son arrêt de travail deux semaines plus tard. J'avais un sentiment de culpabilité envers mon travail. Mais finalement, c'était une très mauvaise idée car j'ai terminé mes dossiers à la hâte. Après, le cabinet n'arrêtait pas de m'appeler pour me faire des reproches », explique-t-elle. J'étais le seul papa dans une start-up d'une trentaine de personnes. Quand je partais tôt, j'étais un peu gêné, je n'avais pas de remarques, mais je sentais une pression sociale insidieuse », se souvient Laurent, 35 ans, jeune père de quatre garçons. Pour les fondateurs, hors de question aussi, de télétravailler. Depuis quelques mois chez Payfit, une fintech française, Laurent jouit avec son dernier-né de son congé parental de quatre semaines, scindé en deux pour s'occuper des enfants durant les vacances scolaires. Payfit fait en effet partie des 334 entreprises françaises qui ont prévu un congé plus long que les 11 jours réglementaires pour le second parent. Je sens clairement la différence, avance ce jeune cadre, qui a annoncé juste avant de rejoindre l'entreprise que sa femme attendait leur quatrième enfant. On voit vite l'ADN d'une boîte quand on fait ce genre d'annonce et je n'ai pas senti une once d'inquiétude. »Partir en week-end, un déménagement »Pour gérer leurs garçons, de 6, 4, 2 ans et le dernier, deux mois, le couple s'est muni d'une nounou à temps plein. Sa femme, qui travaille chez Microsoft, est encore en congé maternité. Pour gérer leur tribu, ils déboursent environ euros par mois en nounou et baby-sitters. La plupart des parents sont unanimes, se faire aider, tout comme dialoguer avec son conjoint pour mieux anticiper sont les clés d'une bonne organisation. Sans mon conjoint, je n'aurai jamais réussi à gérer carrière et vie de famille. Le point saillant là -dessus, c'est le besoin de solidarité », explique Sophie, la directrice dans la communication, qui fonctionne au quotidien avec une boucle Whatsapp, où parents, frères et amis se relaient en cas d' dire que notre vie ne va pas être bouleversée est une pure croyanceCarlo, entrepreneurReste que tous sont catégoriques, leur vie sociale a pris un sacré coup, en particulier durant les premières années. Entre boulot, enfants, couple et amis, il faut prioriser, quitte à réajuster au fil du temps et des circonstances, constatent les jeunes parents. Avec mon mari, on recommence tout juste à se refaire un restau, glisse Sabrina, l'avocate. Du côté des sorties le week-end en famille, c'est le branle-bas de combat Quand on part avec deux bébés, on vit un déménagement », poursuit-elle. Et puis même sortir tout court ressemble au parcours du combattant. Avec une poussette pour jumeaux, vous n'avez même pas la place pour vous asseoir en terrasse, d'avancer sur le trottoir sans se prendre des poubelles et encore moins prendre les transports en commun », se désole Julie, l'avocate, mère de jumeaux, qui s'est déjà fait insulter par des conducteurs de bus parce qu'elle prenait trop de place… »Heureusement, dans le quotidien de la parentalité, difficile en particulier les premières années, quelques rayons de soleil se dessinent. Mes enfants font mon bonheur et je suis épanouie dans mon boulot. Un gamin, c'est une joie de vivre, un pilier, cela apporte énormément d'amour et d'affection », témoigne Sabrina, avec enthousiasme. Se dire que notre vie ne va pas être bouleversée est une pure croyance », poursuit Carlo, qui, en contrepartie, ne peut s'empêcher de se ravir de sa petite Tiara. Je ne comprenais pas mes amis papa qui montraient la photo de leur enfant à tout bout de champ… » Désormais, il fait exactement pareil.*Les prénoms ont été modifiés
Lasage-femme essaie d'avoir mon attention car j'hurle et elle veut pas que je pousse de suite mais pas besoin de pousser à 20h39 ma Lyna sort d'elle-même. Elle est si petite, avec son papa nous sommes encore abasourdis, dire que 40 minutes avant on allait m'installer en chambre, et là ca y est elle est contre moi, ma petite princesse est née.
Devant l'école Anne Frank de Magny-en-Vexin dans le Val d'Oise, franceinfo a pu constater que les parents et les enfants reprenaient le chemin des cours sans trop de craintes. Les enseignants, peu vaccinés et inquiets sur l'utilisation des tests salivaires, sont plus prudents. "Je suis contente que ma fille retourne à l'école", dit avec le sourire Dorothée devant l'école Anne Frank à Magny-en-Vexin dans le Val d'Oise. Après deux semaines de vacances qui ont suivi une semaine de cours à distance, douze millions d'élèves reprennent le chemin de l'école lundi 26 avril. Les collégiens et les lycéens restent à distance une semaine de plus mais les écoliers retrouvent leur classe en présentiel dès lundi 26 avril. Un soulagement pour certains parents et enfants, même si les enseignants déplorent que la vaccination n'ait pas accélèré ces dernières semaines. >>> Covid-19 Emmanuel Macron et Jean-Michel Blanquer en visite à Melun pour évoquer le protocole sanitaire "Ils voient du monde, ils sont protégés, estime Dorothée, pas inquiète de déposer sa fille à l'école. Il y a du gel hydroalcoolique et des masques, liste-t-elle. Ils connaissent les règles de sécurité donc je ne vois pas pourquoi on aurait peur". Et même si sa fille va a la cantine, où elle mange sans masque, Dorothée reste sereine. "Elle mange avec sa classe, elle ne mange pas avec d'autres personnes." D'autres parents sont, en revanche, plus inquiets. C'est le cas d'Amandine qui vient de déposer ses jumelles. "Moi, je voudrais que les classes qui sont nombreuses soient séparées. Dans certaines classes, ils sont une trentaine, ils sont serrés et les enfants se prêtent les crayons." Avant les vacances, aucune classe dans cette école de la région parisienne n'avait fermé. Parmi les élèves, il y a Clarisse. Elle préfère franchement être en classe plutôt qu'à la maison, notamment pour retrouver sa maîtresse "Papa et maman, ils ne font pas trop bien les choses. J'avais demandé à maman de m'aider sur un truc de maths mais elle n'avait pas compris, et moi non plus." Le protocole a beau être strict, les enseignants sont loin d'être rassurés. Dans la salle de classe, les tables et les chaises ne sont pas vraiment espacées pour les 28 élèves explique Carine Lavalette, la directrice de l'école et membre du syndicat SE-Unsa. Elle attend les tests salivaires, le gouvernement en a promis un million par semaine, mais "pour l'instant, on n'en voit pas vraiment la couleur et on se pose beaucoup de questions. On se demande par qui ils vont être faits. On est assez réticents sur le fait de les faire nous-mêmes. Nous sommes enseignants, pas personnel médical. Il va peut-être falloir du personnel en plus dans les écoles pour pouvoir mener ces tests.". Quant aux autotests, il doit y en avoir deux par semaine par adulte, les enseignants les attendent toujours. La vaccination des personnels de plus de 55 ans est aussi au coeur des discussions ce matin. Les cinq employés de l'école, éligibles à la vaccination, n'ont pas pu se faire vacciner pendant les vacances. "Aucun collègue n'a réussi", poursuit Carine Lavelette, même si certains ont essayé affirme-t-elle. Cette directrice devra composer avec une nouveauté dans le protocole sanitaire les élèves de classe fermées ne pourront plus être accueillis dans les autres classes. Cette question n'avait pas été tranchée avant les vacances.
Ontrouve des ressources qu'on n'imaginait pas. L'être humain s'habitue à tout », remarque Sophie. Être une superwoman, en somme, avant de se rendre compte qu'on ne peut pas tout gérer. Aujourd'hui dans une autre entreprise et mère d'un deuxième enfant, elle relativise : « Si une journée, j'ai une baisse de régime au travail, tant pis
J'avais 21 ans quand je suis devenue "belle-mère". Je n'aime pas trop ce terme hein, ça me rappelle la marâtre laide et méchante de Cendrillon mais je n'ai pas encore trouvé mieux. Depuis des années je savais qu'un jour je deviendrais mère, j'en avais envie, alors je me disais que belle-mère, c'était déjà un bon me suis donc lancée avec bonheur dans l'aventure. Au début. Franchement, je n'ai jamais eu peur. J'ai refusé d'écouter les mauvaises langues qui disaient que je n'aurais pas du, qu'elle était petite, que je m'attacherai, que le jour où je me séparerai de son père ça serait dur de laisser la petite... Ce que j'ai vu c'est ce petit bout de femme de même pas 18 mois qui avait plein d'amour à recevoir, et comme j'en avais plein à donner... Pendant des années, on m'a beaucoup entendu dire "je la considère comme ma fille". Parce que je le croyais, sincèrement. Parce que tant qu'on n'a pas vécu une maternité, on ne sait pas. Depuis la naissance de ma fille, je n'ai plus jamais prononcé cette phrase. Parce qu'elle n'est plus exacte. Je ne suis plus d'accord avec moi-même. Avant, quand je la considérais comme ma fille, c'était un peu comme si je me "l'appropriais". Comme une façon de satisfaire mon désir de maternité. Un week end sur deux et la moitié des vacances. Une relation plutôt chouette. Un temps pour l'amour, les câlins et un temps pour vivre ma vie de femme nullipare. Les avantages sans les inconvénients, en somme. Au début. Etre belle-mère, ce n'est pas si simple. Une belle-fille va toujours avec sa mère, et forcément, vu que la maman en question est l'ex de ton amoureux, il y a de très fortes chances pour que ça coince entre vous. Et d'infimes chances que vous soyiez copines comme cochonnes à faire les magasins ensemble un mercredi sur deux. Oui parce qu'en fait, deux options s'offrent généralement à toi - Soit la nana a été larguée par ton amoureux, et comme c'est le père de son enfant et qu'elle l'aime, elle te déteste. Non seulement tu partages le lit la vie de son ex, en plus tu lui "voles" son enfant tous les 15 jours. Elle est joie. Dorénavant, elle n'aura qu'un but. Te détruire pourrir la vie. - Soit la nana a largué ton amoureux parce qu'elle pouvait plus le supporter et elle t'en veut de toute façon. Elle t'en veut de lui "voler" son enfant et d'arriver à supporter ce con mec qu'elle ne peut plus voir en peinture. Dans tous les cas, il faut savoir que la maman a du mal à voir son enfant sourire avec toi, à le voir te faire des câlins et à voir que son enfant t'aime. Moi qui suis une mère, maintenant, j'ai envie de dire que c'est normal. Sincèrement, j'appréhende le jour où le père de Petite Elfe aura sa propre maison et une autre femme... Mais ceci est une autre histoire. Je disais donc qu'au début, c'était chouette et puis.. et puis la réalité revient toujours remettre un peu de plomb dans la cervelle. Le temps passe et on se rend compte que l'amour, ça ne suffit pas toujours. Que la vie est déjà bien compliquée et qu'on a beau ne pas vouloir que l'enfant trinque, il se retrouve au centre de conflits stupides d'adultes qui passent plus de temps à chercher comment emmerder l'autre qu'à faire le bonheur de leur enfant. Je ne juge pas, je serais bien mla placée pour le faire...mais je constate. Etre belle-mère, c'est expérimenter à quel point il est difficile de trouver sa place, sans déborder sur l'espace parental. D'être, en quelque sorte, la troisième roue du carrosse. Je sais que je n'ai pas été capable de ça. Que j'ai pris une trop grande place, évincé le papa en quelque sorte pour assouvir cette soif de materner. J'ai aimé cette enfant, je l'ai prise sous mon aile de belle-mère poule. J'ai accompagné ses pas, tenu sa main fort dans la mienne. J'ai consolé ses chagrins, je me suis levée les nuits. Je l'ai vue apprendre à parler, je l'ai emmenée à la piscine et au zoo. J'ai passé mes vacances avec elle et je lui ai acheté des kilos de jolis vêtements. Aujourd'hui, je l'aime encore, bien sûr. Ce n'est pas la question. Mais c'est devenu compliqué au moment où j'écris ça je vois très bien la scène du film Troie, avec Brad Pitt dans le rôle de celui qui dit "c'est devenu compliqué". Comment ça vous vous en fichez? Pendant que ma Petite Elfe remplissait peu à peu mon ventre, j'entendais très souvent ma belle-fille me dire "maman elle dit que quand tu auras ton bébé tu ne t'occuperas plus de moi, c'est vrai?". A chaque fois que je lui répondais "mais non, ce n'est pas vrai. Je t'aime, ma puce", je sentais mon coeur se fissurer un peu plus. J'avais déjà un poids énorme sur les épaules, je voulais seulement qu'on me fiche la paix, qu'on me laisse profiter de ma grossesse. Je voulais le silence, la paix. La paix de mon âme, s'entend. Je ne l'ai jamais trouvée. Alors j'ai lâché prise. Pris du recul et une énorme distance. J'ai materné mon enfant tout mon soûl, j'ai découvert ce qu'était qu'être mère. J'ai redonné sa place au père de ma belle-fille. Brutalement, sans doute. Je pense que ça a été douloureux pour tout le monde, sur le moment. Je pense aussi que ça valait mieux comme ça. Parce que dans quelques mois semaines?, quand nous n'habiterons plus ensemble, j'espère que ça sera moins douloureux pour ma petite belle-fille. J'ai pris tellement de distance vis à vis d'elle que je ne suis pas sûre de lui manquer. Elle a retrouvé son papa, c'était vital pour elle. Et moi... J'ai eu tout le temps de réfléchir. De comprendre pourquoi ma belle-fille et moi nous nous sommes éloignées. Je ne peux pas tout dire ici mais certains événements extérieurs peuvent détruire une relation plus sûrement que le temps qui passe. Je n'ai pas détesté être une belle-mère, au contraire. Le papa de Petite Elfe m'a dit un jour "si j'avais eu une belle-mère, j'aurais voulu qu'elle soit comme toi". Je l'espère, vraiment. Peut-être même qu'un jour, j'aurais la chance d'être à nouveau une "belle-mère" et de recommencer l'aventure.... qui sait?  Chasse aux oeufs...oeuf facile à trouver^^ 
Cest horrible comme sentiment, mais j’ai fait avec, j’ai occulté », commence-t-elle. Isabelle se consacre alors à son travail et devient gérante d’un restaurant. Des
La maman solo est-elle plus compatible avec son alter ego masculin ou le célibataire qui n’a jamais connu les joies des nuits blanches sans sortir de chez soi ? POINTS COMMUNS ENTRE MAMAN SOLO ET PAPA SOLO En effet, le papa solo présente l’avantage d’avoir beaucoup de points communs avec les mères célibataires. Il connaît le bonheur et les difficultés à élever les enfants, les contraintes de temps et d’argent du quotidien. En plus d’être un amoureux, c’est l’ami idéal pour comprendre facilement notre fatigue, notre manque de temps, les inquiétudes sur les finances. Il aura de l’empathie. Il sait le poids d’être responsable de tout, la solitude à tout gérer seule, la peur d’être malade, de ne plus pouvoir nourrir, de plus pouvoir s’occuper de ses enfants. Il sait naturellement que la maman solo est aussi fragile que courageuse jonglant en permanence avec des tâches multiples. Il sait qu’être parent solo peut être stressant. Il acceptera plus facilement qu’elle annule un rendez-vous à la dernière minute pour cause de baby-sitter indisponible ou d’enfant malade Il pourra même la soutenir en lui donnant des conseils pratiques d’organisation, de vie, de bons plans liés à sa propre expérience de parent. Il a sa vie organisée de papa indépendant. Il ne sera donc pas toujours présent. Il ne sera pas collant, une relation fusionnelle avec lui, c’est mission impossible. Et si c’était le cas, tu devrais te demander pourquoi il passe si peu de temps avec ses rejetons. S’il est dans une relation conflictuelle avec son ex, s’il y a de la souffrance ou de la peur liée à cet échec amoureux avec la maman de ses enfants, si sa séparation est récente, il y a plus de chances qu’il recherche une relation légère, sans prise de tête…ce qui n’empêche pas la relation d’évoluer vers une relation durable. Quoiqu’il arrive, le papa solo comme la maman solo prendra son temps avant de se ré-engager dans une histoire sérieuse. Il a été blessé, il a besoin de temps pour mieux connaître sa nouvelle petite amie, la découvrir, retrouver confiance en sa capacité à rendre une femme heureuse. Son ex, la maman de ses enfants, sera plus ou moins présente dans sa vie donc femme jalouse s’abstenir ! S’il a 2 ou plus enfants, il ne veut peut-être plus en avoir. A toi de voir si tu partages ce choix. Si tu vis avec lui une relation à distance et qu’il est en garde alternée et très attaché à ses enfants, il ne déménagera pas dans ta ville ou ton pays. Donc tu as le choix entre déménager pour le suivre ou prendre le risque que la relation stagne ou se termine avec l’éloignement. C’est pareil dans l’autre sens. S’il t’aime et envisages une relation sérieuse avec toi mais que ses enfants ne t’acceptent pas ou ne s’entendent pas avec les tiens, l’avenir en couple est sérieusement compromis. Ce problème est moins impactant pour la relation si vos enfants respectifs sont grands et indépendants. En résumé, le papa solo est le propre miroir de la maman solo. Il a les inconvénients de ses avantages…comme la maman solo ! SORTIR AVEC UN CELIBATAIRE SANS ENFANTS Il est souvent plus jeune que le papa solo…et oui à 25 ans ou 30 ans un homme est moins souvent papa qu’à 40 ans. Alors préfères-tu les hommes jeunes ou plus mûrs ? Il a forcément un emploi du temps plus flexible qu’un papa. Si sa copine devient sa priorité, il s’organisera avec plus de facilités que le papa qui dépend aussi de son ex pour la garde de ses enfants pour la voir et s’adapter aux week-ends ou soirées libres de maman solo. Il peut ne pas comprendre ou accepter un manque de disponibilité par rapport à une célibataire sans enfants qui elle serait plus disponible, être plus en demande de rencontres, de temps passé ensemble, plus impatient pour se voir. Il y a de grandes chances qu’il veuille un enfant à court, moyen ou long terme et s’il cherche une relation sérieuse, la question de faire un enfant ensemble sera posée. Si vos plans de vie familiale ne s’accordent pas, la rupture est prévisible. ALORS PAPA SOLO OU CELIBATAIRE TOUT COURT ? Tu as peut-être un début de réponse en toi mets-le dans les commentaires en haut de l’article pour échanger dessus 🙂 mais au final tu sais bien qu’entre la théorie de ce qui devrait marcher, ce qui te convient et la pratique, il y a parfois un fossé. Et la vie nous réserve pleins de surprises auxquelles on ne s’attendait pas. J’ai un ami de 35 ans sans enfants qui m’a dit qu’il cherche à s’engager avec une jeune femme de son âge ou plus jeune sans enfants pour être à égalité »… 1 an après il est en couple et partage l’appartement de sa nouvelle copine, maman de 3 enfants… Après une période d’adaptation, il le vit très bien. Aux dernières nouvelles, ils attendent ensemble un enfant et sont très heureux. Au final ce que tu recherches, c’est celui qui correspond le mieux à tes valeurs, partage ta vision du monde, a les mêmes projets que toi, aime ton mode de vie ville, campagne, en France, à l’étranger, sur une péniche.., celui qui te rendra heureuse. Qu’importe le choix d’un papa célibataire ou pas, au fond, ce qui compte c’est qu’il soit célibataire et bien dans ses pompes. Et le plus sûr moyen de le reconnaître, c’est de mieux se connaître. Mieux se connaître pour savoir ce qu’on attend d’une relation, savoir ce qui ne nous convient plus, savoir si des valeurs et des projets futurs sont partagés. Dites-moi dans les commentaires si vous êtes en couple avec un papa célibataire ou un célibataire sans enfants. Et si vous n’êtes pas en couple, avez-vous une préférence ?
Ceuxqui ne me croyaient pas capable ou me jugeaient. Je leur ai montré que c'était possible d'être une maman en fauteuil, malade et solo. Aujourd'hui mon fils, Joshua et moi, sommes très heureux. Parfois notre quotidien n'est pas banal, mais c'est notre force. Joshua et Maman contre le reste du monde !", conclut la jeune maman.
Depuis trois mois, Rihanna ne se sépare plus de Majesty, la fille de sa cousine. La chanteuse aurait-elle des envies de maternité ?Cela ne fait aucun doute. Rihanna est prête à devenir maman. La preuve La chanteuse de 26 ans ne lâche plus la croquignolette Majesty, la fille de sa cousine Noella Alstrom, née en juin dernier. A voir les photos que la star poste sur Instagram, on a même l’impression que l’incorrigible fêtarde a troqué les soirées déjantées pour des soirées de baby-sitting. Il lui est même arrivé un soir du mois d’août d’aller chez sa cousine, juste pour mettre Majesty au lit. Et le 14 septembre, jour de baptême de la fillette, Rihanna a gardé sa filleule en permanence dans les bras...Mais cela fait longtemps qu’elle est prête à fonder une famille. En 2010, elle assurait déjà " Je n’ai pas vraiment prévu d’âge. Cela peut être dans un an comme dans dix ans. Quelque soit le moment ce sera très bien " avant de conclure "Quand le temps sera venu, je le saurais. " Le temps est donc venu mais il y a un hic. Il n’y a pas de géniteur potentiel à l’ enfants, oui, mais pas sans hommeRihanna n’envisage que difficilement de faire un bébé toute seule. En août 2013, Ellen de Generes lui demandait " vous vous imaginez avoir un enfant toute seule ou attendez-vous d’être avec un homme ou même d’être mariée ? " " je préfèrerais, oui avoir une famille en entier " répondait-elle "mais si je devais m’occuper d’un enfant tout seule j’y arriverais même si ce n’est pas comme ça que j’envisage les choses ». Deux mois auparavant, elle affirmait " Un jour, j’aurais des enfants. J’ai hâte d’arriver au jour où je serais maman. Mais ce n’est pas près d’arriver pour le moment. Je n’ai même pas encore de papa pour mon bébé ". Mais ce n’est pas en passant ses journées à pouponner Majesty qu’elle va trouver un chéri ! © Instagram 2/6 - Rihanna semble heureuse d'avoir été choisie par sa cousine, Noella, pour être la marraine de Majesty, le 14 septembre 2014 © Instagram 3/6 - Rihanna n'a plus d'yeux que pour Majesty, 26 août 2014 © Instagram 4/6 - Rihanna est venue chez sa cousine uniquement pour mettre Majesty au lit, le 20 août 2014 © Instagram 5/6 - Rihanna est déjà raide dingue de la petite Majesty, qui n'a alors qu'un mois, le 3 juillet 2014 © Instagram 6/6 - Rihanna a été une des premières à tenir Majesty dans ses bras après sa naissance, le 9 juin 2014
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j ai pas connu papa mais maman elle a gerer